neuromancer a écrit : ↑19 nov. 2020 04:44
Indo est devenu est groupe commercial et populaire, c'est ça aussi le succès; Nicola Sirkis en profite, après avoir galéré des années, pour le principe ça se comprend, mais oui ça se fait au détriment de la qualité artistique.
La single collection représente un peu ça, une compil grand public au lieu d'un véritable coffret qui aurait intéressé que les fans.
Je fais partie d'un public qui a connu Indochine grâce à la persévérance et la ténacité de gens qui y ont cru envers et contre tous ceux qui considéraient ce groupe comme complètement ringard et dépassé.
J'ai connu Indochine grâce à un journaliste rock qui considérait Indochine comme équivalent francophone des grands groupes de rock de new wave anglais.
Je pense qu'il faut respecter ceux qui ont permis à Indochine de garder la tête hors de l'eau, en continuant à diffuser, écouter et défendre leur oeuvre envers et contre tous.
On constate à travers l'absence de plusieurs Singles absent de la collection que l'oeuvre d'Indochine entre 91 et 2000 est devenue tabou, n'en parlons pas, mettons cette période sous le tapis, qu'elle soit réduire au strict minimum, comme pour donner raison aux médias qui qualifie cette période d'insignifiante traversée du désert.
Jamais personne pour faire un examen de conscience sur l'injuste sort réservé à l'époque à Indochine dans les médias dominants.
Je ne me sens plus faire partie du public cible, je continue à suivre Indochine parce que je m'accroche au travail d'oli que je trouve intéressant, au jeu de guitare de Boris qui pour moi reste un excellent guitariste, mais le public cible d'Indochine aujourd'hui, c'est plus les fans de Rock...
Quand Nicola parle de groupe de Rock, je trouve que l'étiquette ne colle plus...