Je trouve les réactions assez dure.
On perçoit au fil du temps que Nicolas a évolué , changé depuis 1999 et encore plus depuis le retour du succès.
C'est pour cela que j'écrivais que pour moi indo était désormais une grosse machine sans âme tentant de mettre de l'art dans tous cela par calcul ou sincérité.
Sur le DVD de l'enregistrement du black city parade Nicola est déroutant, parfois énervant parfois touchant notamment quand il parle de ses textes, de la difficulté qu'il semble avoir désormais pour les écrire. Nicola nous fait chier, c'est un homme accompli mais on ne retrouve plus le post ados à la fois heureux et mélancolique qui nous plaisait tant. Le syndrome du quinqua diront les psys de comptoir.
Où Indo était à la base une sorte de collectif à 4 désormais c'est devenu une entreprise avec un chef d'entreprise et un duo de "composition". De là à en faire un salaud ou je ne sais quelle métaphore peu inspiré (point godwin ?) sur le IIIe reich ...
Les manager généralement on ne les aime pas trop, 75% sont peu appréciés, le job n'est pas si facile
Indo ne me touche plus trop je continue à acheter, j'ai peut être tort parce que je trouvais la box "ronde" du black city tour assez quelconque, sans intérêts.
Je trouvais que Matu avait énormément apporter lors de la période "Hanoi" c'est ce qui transparait dans le DVD.
Concernant les remarques de dodoz sur shoes, je connais quelques musiciens souvent je les compare plus à des techniciens que des artistes
En théorie au niveau où est Indo je pense que la plupart doivent êtres des artistes accomplis.
Le groupe du Ludwig je trouve assez quelconque musicalement pour ne pas dire que c'est de la bonne daube (du Kyo
)
D'aucun l'on écrit cela n'enlève pas le talent de Nicola sur certains textes, le génie d'indo sur certains morceaux (par forcément ceux que l'on entend à foison) et l'émotion voir le soutien qu'à pu avoir sur nos vies, nos moments de solitudes.
En conclusion on pourrait écrire "
je voudrai te revoir briller d'electrastar et cracher sur la gloire"