nouvelles indochinoises:exprimez vous!!
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clio87
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- Localisation : Var!!! =>> 30mai Toulon!!
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c'est vrai c'est une bonne idée, j'aimerai bien essayer mais je n'ai pas trop d'imagination..
"Je deviendrais la mer"
SEX, TOLERANCE, AND ROCK N'ROLL !
LA com 100% †ndochine et //ine /nch /ails !
http://www.indo-nails.fr.tc
and... //ake //oise !!
cherche boot Toulon 30 Mai... MP ! merci
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laisse moi etre comme toi
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laisse moi etre comme toi
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laisse moi etre comme toi
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bonne idéeC'est une super idée. Mais moi j'suis trop nul pour écrire une nouvelle donc je ne vous aiderais pas.
Par contre je pensais, pourquoi ne pas faire 17 nouvelles ? Une pour chaque album + une qui regrouperait tous les album ?!?!
alors je vois que paradize et dancetaria sont tres demander...allez il y a personne qui est tenté par l'aventurier "la prmeeire nouvelle" la ou tout commence...
ou un ptit "3", aventure, allez un homme pour lui
par contre, on peut se lacher...;faut simplement qu'il existe un rapport.... du groupe de zic......
Faut un style particulier de nouvelles (genre suspense, policier, eau de rose...) ou pas ? on peut écrire un peu ce qu'on veut et laisser aller notre esprit ?
par contre, on peut se lacher...;faut simplement qu'il existe un rapport.... du groupe de zic......
J'ai été exhilée aux enfers à cause d'une vie trop solitaire...
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laisse moi etre comme toi
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je suis pas la seule qui fait le sujet,alors je peux aps trop vous dire.....
mais sinon tout le monde fait plusieurs nouvelles sur ceux qui veulent.... et on prned la meilleur de chaqun.....quoi que.... je sais vrt pas...
deja,one crit comme on eut,aucune regle..... simplement mettez y une part de vous meme.... c'est tout
alors pour les albums.....je propsose un tirage au sort pour ceux qui veulent paradize,dancetaria...
mais sinon tout le monde fait plusieurs nouvelles sur ceux qui veulent.... et on prned la meilleur de chaqun.....quoi que.... je sais vrt pas...
deja,one crit comme on eut,aucune regle.....
simplement mettez y une part de vous meme.... c'est tout alors pour les albums.....je propsose un tirage au sort pour ceux qui veulent paradize,dancetaria...
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laisse moi etre comme toi
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alors ke tout ceux qui veulent y participer mettent les quels des 3 albums ils preferent.... apres on fera en mieux pour satisfaire tt le monde
oublier pas les live.....c'est une ambiance....
perso, j'ai perdu le CD du peril jaune
et je voulait ecrire ce soir.. qulqu'un est sur amiens e t peux me l'apporter ce soir
petite lune, donne toujours ta nouvelle
oui,si vs voulez pas un album, on peut faire une chanson mais on limite aux albums..faudrait tous les faire
oublier pas les live.....c'est une ambiance....
perso, j'ai perdu le CD du peril jaune
et je voulait ecrire ce soir.. qulqu'un est sur amiens e t peux me l'apporter ce soir petite lune, donne toujours ta nouvelle
oui,si vs voulez pas un album, on peut faire une chanson
mais on limite aux albums..faudrait tous les faire-
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oui, alors aps de competition....
pour paradize, quelqu'un fera l'album, un autre une chanson
dancetaria idem, ca en fera 4 de satisfait.....
et au pire,on peut faire notre livre du forum a differente periode, et on echange les albums....par exemple, on peut enf aire la, un autre a noel ou vacances..... tout depend, donc sil vous plsit vous battez pas pour paradize ou dancetaria
pour paradize, quelqu'un fera l'album, un autre une chanson
dancetaria idem, ca en fera 4 de satisfait.....
et au pire,on peut faire notre livre du forum a differente periode, et on echange les albums....par exemple, on peut enf aire la, un autre a noel ou vacances..... tout depend, donc sil vous plsit vous battez pas pour paradize ou dancetaria
Je suis tout à fait d'acc avec toi.je croi pa que ce soi la meilleur idé parce qu'après ca se transforme en "competition" et ca me di rien.....mais sinon tout le monde fait plusieurs nouvelles sur ceux qui veulent.... et on prned la meilleur de chaqun.....quoi que.... je sais vrt pas...
Je pense que le mieux se serait que tout le monde fasse sa nouvelle et qu'on réunisse tout ça dans un boucin même s'il y a plusieurs écrits pour un album parce que personne n'écrira le même chose même si la base est la même.
Enfin je dis ça mais c'est pas moi qui organise c'est juste une idée
J'ai été exhilée aux enfers à cause d'une vie trop solitaire...
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laisse puiser ton imagination, ecoute simplement le cd pendant que t'ecris, tu seras surment influencer..... je sais pas pour dancetaria, il faut que la nouvelle soi sombre, paradize soi joyeuse....mais il faut creer une histoire ( nouvelles ) en fonction des titres qu'il y a dans l'album ainsi que les paroles des chanson
il faut tout réunir en plus de notre imagination ?
a toi de definir dans ta nouvelle comment tu percois l'album
surprise pour les autres
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pourquoi pas, j'aime l'idée, ms ca serait pas mal que tous les albums y soient avt d'en faire plusieurs du meme album, ms c'est que mon opinion, si la majorité préfère faire autrement, je suisJe suis tout à fait d'acc avec toi.je croi pa que ce soi la meilleur idé parce qu'après ca se transforme en "competition" et ca me di rien.....mais sinon tout le monde fait plusieurs nouvelles sur ceux qui veulent.... et on prned la meilleur de chaqun.....quoi que.... je sais vrt pas...
Je pense que le mieux se serait que tout le monde fasse sa nouvelle et qu'on réunisse tout ça dans un boucin même s'il y a plusieurs écrits pour un album parce que personne n'écrira le même chose même si la base est la même.
Enfin je dis ça mais c'est pas moi qui organise c'est juste une idée
(soumise)-
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voila ma nouvelle sur 3..je viens d evoir que quelqu'un aussi veut sur 3, ya aucun probleme, on peut enf aire plusieurs....et on prendra la meilleure des nouvelles de 'lauteur,toutes personnes qui participent verra sa nouvelle publiée! mais qu'une....alors ecrivait autant que vous voulez... on peut récapitulez qui fait quoi? pour avoir une idée du nombre de nouvelles
voila la nouvelle :
Egarée, dans les rues sombres et étroites, je m’achemine vers mon destin, c’est-à-dire nulle part. Mes pensées sont noires, je n’ose lever ma tête, et pourtant je ressens une intense vibration, mes yeux lentement se soulèvent, un homme avec une tenue charmante apparaît, nos regards se croisent, un frisson parcours mon corps frêle, je me sent tombée, mes yeux luisent, l’ivresse s’est emparée de mon âme innocente. On se sourit. Je m’arrête et nous voila partit pour une longue nuit rien qu’a nous, aux douces lueurs lunaires. On parlait de tout et de rien, surtout de tout, on se comprenait. Quand sa tête se mélangée aux rayons de la lune, je pouvais apercevoir, cette caractéristique masculine qui me rend toute chose, il était légèrement maquillé, les yeux cernés de noir. Il devait être comme moi, il devait être rejeté, l’intolérance de ce monde me refroidie…On se prend la main, nous sommes désormais plus seul. A croire qu’on s‘était croisé dans une vie antérieur.
Aux premières lueurs matinales, on se quitte, les larmes deferlent .Aucune parole ne sont échangées, mais nous savons ou nous rendre la nuit prochaine, elle sera nous, rien qu’a nous.
Je décide de m’évader, cette réalité est vraiment survenu au moment ou j’en avait le plus besoin. Je me perds dans mes pensées, j’imagine un monde meilleur, ou prônerait la tolérance, une baie, loin très loin, derrière l’ouragan tumultueux de ces colères humaines qui se cachent des gens différents. Sur cette baie, j’entends déjà au loin des voix perçantes qui hurlent leur bonheur, elles se mélangent aux vagues qui s‘échouent sur le sable dorée. Cette île accueillante ou tout est permis. C’est grâce a cet homme, que j’ai pu enfin vivre, savoir que quelqu’un,oui seulement quelqu’un qui me comprenait, ou plutôt qui savait m’aimer. Je l’emmènerai vers mon paradis, et nous vivrons à l’abri des rires.
Je m’assoupis quelques temps, je rêvais de notre future nuit, on jouerait aux voyous, je suis en trans, j’ai erré tant d’années, aucune personne, je crois, a su m’aimer, il a sauvé mon âme éperdue, délivré de ce cachot infernal qu’est le monde.
En sursaut, je me lève, la nuit commence à s’étaler, la lune perce tant bien que mal, mais je reste confiante. Doucement, je rejoins, le cœur fiévreux, notre endroit secret, où l’homme mystérieux, est là, je suis persuadée de sa présence.
Les lucioles qui me regardent, sont les gardiennes de mon secret. Les minutes s’écoulent, une guerre en moi intérieur s’est amorcée, jeune et naïve, je suis seule, mes tuteurs ignorent ou je suis, seul l’homme le sait. Le voilà qui s’approche à travers les ombres nocturnes. On s’embrasse, ses mains s’enrôlent autour de mes hanches, on est serré l’un contre l’autre, je sens qu’il est heureux, moi aussi. On se réconforte mutuellement du monde cruel, ce monde ou je n’ai pas pu trouver ma place, ou plutôt ce monde ou on ne m’a pas donné ma place.
Délicatement, il se sépare de moi, me ferme les yeux, me caresse la lèvre et me susurre « le jour est insupportable, je te confie cela, jamais, je te promet, je te laisserai seule ». Ma main fut recouverte d’une boule de poil. J’ouvre les yeux, nous sommes maintenant 3, seuls sous le ciel étoilé. Ensemble, tous les 3, nous respirons cette odeur encore fraîche, de pluie. Nous étions trempés. Pendant que le monde dort, nous profitions de ces heures, qui a nous seuls appartiennent, a 3 on admire ce monde, rêvons de le reconstruire.
On échappe aux autorités, on s’approche de la mer. On sait que la mer, est la route, le début de la liberté, on pouvait parcourir des terres inconnues, découvrir un monde meilleur, on le savait. Il me retient un instant, m’emmitoufle et m’apprend, je ne sais comment, les secrets de la vie. Nous n’avons plus le temps de s’enfuir a l’assaut de cette mer paisible, naviguer au gré du vent, et s’échouer je ne sais ou, partout mais ailleurs de ce monde.
Hélas, le jour se lève, on se sépare, le chaton est lové dans mon manteau. Je pense à lui, qu’est-il entrain de faire, loin de moi.
Je me plonge dans un bain bouillonnant, il me manque, j’ai envie de rien, sauf d’être avec lui, dans ses bras. Ces heures, diurnes, me paraissent insupportable, je souffre, je suis paumée. Mais Venus, l’étoile des marins, qui m’a vu naître, va bientôt luire dans le ciel, et j’irai le retrouver. Ce chaton est ma perle, il se blottit sans le creux de mes reins, sa présence m’apaise, me rassure. Il est une goutte de lait qui adoucit ce monde trop acide à mon goût. Je suis heureuse.
Je me réveille, j’enfile mon manteau et emporte Salammbô, le chaton. Je cours et m’effondre dans ses bras, nous passons une nuit d’amour intense, unique, tendre. Il parcouru mon corps déchaînée, je suis a lui, il est a moi. Salambo veille sur les regards indiscrets. J’avais un peu froid, mais il était la. Ses mains connaissaient les endroits les plus sensibles de mon corps frele. Cette nuit, à 3, est gravée dans ma mémoire. Nos se sont enchaînées, nous fusions, transpirions, on était heureux. Des larmes perlent sur son visage d’ange, la je comprend, le coq chante. On se donne rendez vous pour une autre nuit, encore plus intense, vais-je supporter le jour ? Je reprend mes vêtements, et me laisse guidée par mes pas. Cette 3eme nuit, fut la plus belle de ma courte vie. Salambo, s’est imbibé de son odeur, il est la près de moi, je cherche son parfum…
Je suis amoureuse, non pas amoureuse d’une banalité, je savais que c’était la seule personne à pouvoir m’aimer, je suis envoûté, il est mon unique raison de vivre, je ne suis plus seule, je deviens comme invincible. AMOUR ! J’ai envie de crier, d’hurler sur les toits du monde !
Tout à l’heure, nous serons réunis, tout les 3 ? Je décide de m’habiller, une robe rouge qui couvre mes formes, avec un col mao, une ouverture sur le bas du dos, qui laisse apercevoir mon tatouage. Cette nuit, nous le savons, c’est la où tout se fera, un goût amer pourtant me hante.
Je commence mon ascension vers mon Paradis, salace, me suit fièrement.
Il est là, à l’heure, beau, élégant, d noir vetu. Seul Salambo savoure l’union de ces couleurs qui s’enrolent. Mes yeux noirs pétillent, ses mais délicates, douces me caressent. Cette nuit, est si jolie, encore plus belle que la 3ème. Je sens son souffle, saccadé sur ma nuque. Il me demande de me rhabiller, de partir avec lui. Je souris, je l’embrasse, je en veux pas partir ans lui. On s’endort, l’un contre l’autre, le vent fait emmêler nos cheveux, on s’imagine notre destination future, Salambo partage notre amour.
Il me serre fort dans ses bras musclé, on rattrape nous journées perdues, c’est sa peau contre ma peau, il est à bout de souffle, je le rassure, je savoure cette nuit.
J’ouvre les yeux, le soleil m’éblouit, et je suis seule, oui seule. J’entends un bruit, c’est ma mère adoptive qui entre avec un sourire dans ma chambre. Une surprise m’attend en bas, je dévale les escaliers, me perd dans les couloirs et je vois…. Salambo. Elle essaie de me parler, mais je suis absente, elle me fait comprendre qu’elle vient de l’acheter ce matin.
Perdue, je m’enferme dans ma chambre, et attend le début de la nuit. J’ai peur, je cours au rendez-vous, enfin, non, car je suis seule. Il ne viendra plus. Je retourne chez moi, je m’étal sur le lit, Salambo a mes cotés est là, bien vivant. Mais l’homme non. Il était le fruit de mon invention, une idylle que je me suis crée, cette osmose ne pouvait être réelle. Encore une fois, la vie ma décue. Une seule solution s’ouvre a moi.
Le lendemain, ma mère constate que ma belle robe rouge est assortie au lit, imprégné de mon sang.
Salammbô, est le seul témoin de ma vie, qui s’est achevée trop tôt, je n’ai rien vécue, mais il est témoin aussi de ma fin de vie où je suis partie de ce monde avec un sourire. Je suis partie rejoindre l’homme pour l’éternité. La mort a su m’offrir ce que la vie n’aurait su me donner.
voila la nouvelle :
Egarée, dans les rues sombres et étroites, je m’achemine vers mon destin, c’est-à-dire nulle part. Mes pensées sont noires, je n’ose lever ma tête, et pourtant je ressens une intense vibration, mes yeux lentement se soulèvent, un homme avec une tenue charmante apparaît, nos regards se croisent, un frisson parcours mon corps frêle, je me sent tombée, mes yeux luisent, l’ivresse s’est emparée de mon âme innocente. On se sourit. Je m’arrête et nous voila partit pour une longue nuit rien qu’a nous, aux douces lueurs lunaires. On parlait de tout et de rien, surtout de tout, on se comprenait. Quand sa tête se mélangée aux rayons de la lune, je pouvais apercevoir, cette caractéristique masculine qui me rend toute chose, il était légèrement maquillé, les yeux cernés de noir. Il devait être comme moi, il devait être rejeté, l’intolérance de ce monde me refroidie…On se prend la main, nous sommes désormais plus seul. A croire qu’on s‘était croisé dans une vie antérieur.
Aux premières lueurs matinales, on se quitte, les larmes deferlent .Aucune parole ne sont échangées, mais nous savons ou nous rendre la nuit prochaine, elle sera nous, rien qu’a nous.
Je décide de m’évader, cette réalité est vraiment survenu au moment ou j’en avait le plus besoin. Je me perds dans mes pensées, j’imagine un monde meilleur, ou prônerait la tolérance, une baie, loin très loin, derrière l’ouragan tumultueux de ces colères humaines qui se cachent des gens différents. Sur cette baie, j’entends déjà au loin des voix perçantes qui hurlent leur bonheur, elles se mélangent aux vagues qui s‘échouent sur le sable dorée. Cette île accueillante ou tout est permis. C’est grâce a cet homme, que j’ai pu enfin vivre, savoir que quelqu’un,oui seulement quelqu’un qui me comprenait, ou plutôt qui savait m’aimer. Je l’emmènerai vers mon paradis, et nous vivrons à l’abri des rires.
Je m’assoupis quelques temps, je rêvais de notre future nuit, on jouerait aux voyous, je suis en trans, j’ai erré tant d’années, aucune personne, je crois, a su m’aimer, il a sauvé mon âme éperdue, délivré de ce cachot infernal qu’est le monde.
En sursaut, je me lève, la nuit commence à s’étaler, la lune perce tant bien que mal, mais je reste confiante. Doucement, je rejoins, le cœur fiévreux, notre endroit secret, où l’homme mystérieux, est là, je suis persuadée de sa présence.
Les lucioles qui me regardent, sont les gardiennes de mon secret. Les minutes s’écoulent, une guerre en moi intérieur s’est amorcée, jeune et naïve, je suis seule, mes tuteurs ignorent ou je suis, seul l’homme le sait. Le voilà qui s’approche à travers les ombres nocturnes. On s’embrasse, ses mains s’enrôlent autour de mes hanches, on est serré l’un contre l’autre, je sens qu’il est heureux, moi aussi. On se réconforte mutuellement du monde cruel, ce monde ou je n’ai pas pu trouver ma place, ou plutôt ce monde ou on ne m’a pas donné ma place.
Délicatement, il se sépare de moi, me ferme les yeux, me caresse la lèvre et me susurre « le jour est insupportable, je te confie cela, jamais, je te promet, je te laisserai seule ». Ma main fut recouverte d’une boule de poil. J’ouvre les yeux, nous sommes maintenant 3, seuls sous le ciel étoilé. Ensemble, tous les 3, nous respirons cette odeur encore fraîche, de pluie. Nous étions trempés. Pendant que le monde dort, nous profitions de ces heures, qui a nous seuls appartiennent, a 3 on admire ce monde, rêvons de le reconstruire.
On échappe aux autorités, on s’approche de la mer. On sait que la mer, est la route, le début de la liberté, on pouvait parcourir des terres inconnues, découvrir un monde meilleur, on le savait. Il me retient un instant, m’emmitoufle et m’apprend, je ne sais comment, les secrets de la vie. Nous n’avons plus le temps de s’enfuir a l’assaut de cette mer paisible, naviguer au gré du vent, et s’échouer je ne sais ou, partout mais ailleurs de ce monde.
Hélas, le jour se lève, on se sépare, le chaton est lové dans mon manteau. Je pense à lui, qu’est-il entrain de faire, loin de moi.
Je me plonge dans un bain bouillonnant, il me manque, j’ai envie de rien, sauf d’être avec lui, dans ses bras. Ces heures, diurnes, me paraissent insupportable, je souffre, je suis paumée. Mais Venus, l’étoile des marins, qui m’a vu naître, va bientôt luire dans le ciel, et j’irai le retrouver. Ce chaton est ma perle, il se blottit sans le creux de mes reins, sa présence m’apaise, me rassure. Il est une goutte de lait qui adoucit ce monde trop acide à mon goût. Je suis heureuse.
Je me réveille, j’enfile mon manteau et emporte Salammbô, le chaton. Je cours et m’effondre dans ses bras, nous passons une nuit d’amour intense, unique, tendre. Il parcouru mon corps déchaînée, je suis a lui, il est a moi. Salambo veille sur les regards indiscrets. J’avais un peu froid, mais il était la. Ses mains connaissaient les endroits les plus sensibles de mon corps frele. Cette nuit, à 3, est gravée dans ma mémoire. Nos se sont enchaînées, nous fusions, transpirions, on était heureux. Des larmes perlent sur son visage d’ange, la je comprend, le coq chante. On se donne rendez vous pour une autre nuit, encore plus intense, vais-je supporter le jour ? Je reprend mes vêtements, et me laisse guidée par mes pas. Cette 3eme nuit, fut la plus belle de ma courte vie. Salambo, s’est imbibé de son odeur, il est la près de moi, je cherche son parfum…
Je suis amoureuse, non pas amoureuse d’une banalité, je savais que c’était la seule personne à pouvoir m’aimer, je suis envoûté, il est mon unique raison de vivre, je ne suis plus seule, je deviens comme invincible. AMOUR ! J’ai envie de crier, d’hurler sur les toits du monde !
Tout à l’heure, nous serons réunis, tout les 3 ? Je décide de m’habiller, une robe rouge qui couvre mes formes, avec un col mao, une ouverture sur le bas du dos, qui laisse apercevoir mon tatouage. Cette nuit, nous le savons, c’est la où tout se fera, un goût amer pourtant me hante.
Je commence mon ascension vers mon Paradis, salace, me suit fièrement.
Il est là, à l’heure, beau, élégant, d noir vetu. Seul Salambo savoure l’union de ces couleurs qui s’enrolent. Mes yeux noirs pétillent, ses mais délicates, douces me caressent. Cette nuit, est si jolie, encore plus belle que la 3ème. Je sens son souffle, saccadé sur ma nuque. Il me demande de me rhabiller, de partir avec lui. Je souris, je l’embrasse, je en veux pas partir ans lui. On s’endort, l’un contre l’autre, le vent fait emmêler nos cheveux, on s’imagine notre destination future, Salambo partage notre amour.
Il me serre fort dans ses bras musclé, on rattrape nous journées perdues, c’est sa peau contre ma peau, il est à bout de souffle, je le rassure, je savoure cette nuit.
J’ouvre les yeux, le soleil m’éblouit, et je suis seule, oui seule. J’entends un bruit, c’est ma mère adoptive qui entre avec un sourire dans ma chambre. Une surprise m’attend en bas, je dévale les escaliers, me perd dans les couloirs et je vois…. Salambo. Elle essaie de me parler, mais je suis absente, elle me fait comprendre qu’elle vient de l’acheter ce matin.
Perdue, je m’enferme dans ma chambre, et attend le début de la nuit. J’ai peur, je cours au rendez-vous, enfin, non, car je suis seule. Il ne viendra plus. Je retourne chez moi, je m’étal sur le lit, Salambo a mes cotés est là, bien vivant. Mais l’homme non. Il était le fruit de mon invention, une idylle que je me suis crée, cette osmose ne pouvait être réelle. Encore une fois, la vie ma décue. Une seule solution s’ouvre a moi.
Le lendemain, ma mère constate que ma belle robe rouge est assortie au lit, imprégné de mon sang.
Salammbô, est le seul témoin de ma vie, qui s’est achevée trop tôt, je n’ai rien vécue, mais il est témoin aussi de ma fin de vie où je suis partie de ce monde avec un sourire. Je suis partie rejoindre l’homme pour l’éternité. La mort a su m’offrir ce que la vie n’aurait su me donner.
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[le gros boulet arrive après la guerre]
salut, perso j'adore écrire et même si j'ai pas mal de projets liés à ça en ce moment, cette idée d'écrire des nouvelles inspirées par les disques ou chansons d'Indo me plaît bien !
donc si vous me laissez un peu de temps, je me ferai une joie de participer
salut, perso j'adore écrire et même si j'ai pas mal de projets liés à ça en ce moment, cette idée d'écrire des nouvelles inspirées par les disques ou chansons d'Indo me plaît bien !
donc si vous me laissez un peu de temps, je me ferai une joie de participer
La tête dans les nuages, il pleut dans mon cœur.
[quote=""laisse moi etre comme toi""]Tu peux reprendre l'idée....aucun probleme... 
Tu le fais sur quoi vénus?
Et les autres vos albums?
[quote]
Dans ma nouvelle il y a aussi des clin d'oeil ( ) à quelques chansons de l'albums. Je le fais sur Dancetaria mais avec le boulot je ne promets pas qu'elle soit finie dans 2 mois 
Tu le fais sur quoi vénus?
Et les autres vos albums?
[quote]
Dans ma nouvelle il y a aussi des clin d'oeil (
) à quelques chansons de l'albums. Je le fais sur Dancetaria mais avec le boulot je ne promets pas qu'elle soit finie dans 2 mois J'ai été exhilée aux enfers à cause d'une vie trop solitaire...
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Ouais c'est sur mais sur Dancetaria je pense pas que ce sera trop gai non plusc'est vrai les nouvelles ont des fins assez tristes.... mais avec "tes yeux noirs" en derniere chanson sur l'album 3.....
solinar j'adore la nouvelle.....bien joué pour nuit intime
si vous voulez faire plus gau allez-y.....
le but est pas de nous faire déprimer
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mdrOuais c'est sur mais sur Dancetaria je pense pas que ce sera trop gai non plusc'est vrai les nouvelles ont des fins assez tristes.... mais avec "tes yeux noirs" en derniere chanson sur l'album 3.....
solinar j'adore la nouvelle.....bien joué pour nuit intime
si vous voulez faire plus gau allez-y.....
le but est pas de nous faire déprimer
tant pis,faisons un reccueil deprimant
sur wax,on peut nous donner une lueur d'espoir....ou pas (l'adolescence, ca peut virer mal...)
sur le peril jaune, j'essaie,mais avec la guerre, je sens le desastre...
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Album wax (nouvelle pour le plaisir, a ne pas mettre dans le livre)
sinon, ok pour la derniere nouvelle
Je me sens libre, des ailes se sont forgées sur mon dos, j’ai atteint la cime des cieux, les nuages m’accueillent, me plongent dans une atmosphère brumeuse,les anges s’embrassent, ils virvoltent dans tous les sens. Vetue d’une aube blanche en soie, je sautille, je,je, je, oui, je suis en extase. Tous sourires donnés me sont rendus, j’entre enfin dans la vie. Consciente de mes capacités,je suis une nouvelle prédateur u bonheur, je mordille ces ailes pulpeuses qui m’entourent. Je brise la glace pure, transperce les rayons lumineux. Mais j’ai peur, une telle intensité, excessive ne pourra subsister. Plus je m’élève, plus la chute sera longue…
Pourquoi m’a ton donné cette ivresse ? Je n’ai pas eu un parcours exemplaire, au contraire. Ma vie ? La voici :
Fille unique,mes parents ont su me transmettre leur amour. J’ai toujours eu ce que je voulais, mes caprices assouvis. J’obtenais tout. Et c’est peut être la que tout a dérivé… Innocente, je n’ai pas choisit de naitre, on m’a gaté, meme pourrie gatée, rien m’était interdit ! non, rien ! Aucune limite, tout m’était permis.
Au collège, tout les garcons se rinçaient l’œil. Cette sensation de supériorité me plaisait. Je jouais avec ces prépubères, j’enchainais comme on dit. Le fricotage me lassa vite, j’ai perdu à 12ans ma virginité. Les yeux jaloux et envieux des filles m’amusaient, elle me haissaient, mais j’étais populaire, et n’avaient d’autres choix que de m’aimer, pour que je leur cède un peu de ma notoriété ! Mais comme vous le savez, a fore de tout avoir, je poussais toujours plus loin les limites au maximum. Les perversions s’embrasèrent en moi, les jeunes me repugnaient, je flirtais avec les hommes mures, je savourais leur experience. C’est vrai, je n’avais pas de véritable amis, mais tous m’aimais, enfin les garcons pour mon corps et les filles pour ma popularité,mes parents car j’étais l’unique fruit de leur union. J’ai appris plus tard, que nous étions à l’origine 2jumeaux dans le ventre de l’auteur de mes jours, mais in utero, je l’ai tué, sans le vouloir, on apelle ça la loi du plus fort et la génétique.
Puis vite,la drogue me passionna, elle me permetait de vivre plus fort. Mais je voulais toujours plus. Les cours ne m’interessaient pas, mais je reussissais. A l’adolescence, au lycée, je me suis assagis, j’ai arrété l’heroine, et suis tombée amoureuse. Il me donnait aussi ce que je désirait. Mais lui, a su me cerner, et savait me rabaissait. Il a su percer mes mystères ; ses baisers je les aimais. Mes aventures passées, je l’ai regretté.Mais je fuis vers mon destin qui m’appartient, je sais que tout m’est accessible. Une nuit, lors d’une fête ou je suis tant convoitée, j’ai voulu m’essayer aux baisers saphiques, la fille était enchantée, au coin du lit, nous étions deux princesses. Je l’aime. Mais le temps passe, l’amour aussi. Elle est brisée.
Serais-je un jour satisfaite pour l’éternité ? Je m’enfuis vers un autre univers, du haut de mon satelite, je parcours la mer étoilée, que pourrais je faire ? Ou me poser ? Quel endroit n’ai-je pas encore explorer ?Le monde, oui, a 18ans, je partirai a la conquete du monde ! Ce continent américain qui me repugne et m’attire, hollywood ! Le monde est sale, mais, je ne le vois pas. J’espere malgrè mon banheur superficiel, recevoir une lecon.
Une opportunité innatendue me chamboule. Par internet, j’ai amorcé une vie virtuelle avec un certain julien, il ne savais rien de mon physique. Il est comme moi, on se confie durant des nuits endiablés devant l’ordinateur. Ce soir, nous nous promettons de nous voir a notre majorité, il habite de l’autre coté de l’atlantique. Le ciel, nous a choisit pour une nouvelle vie. Enfin, je serais égal a l’être aimé…
Le temps passe, et je l’aime toujours ! Je vais a sa rencontre a NYC. Nous passons deux longs mois, éveil au paradis.
J’ai changé, mon égo diminua, mes chevilles sveltes ! Si, je vous assure ? Il m’a appris que vivre en jouant des autres, ne pouvait que m’ammener la haine.Je le concois. Je suis devenue, enfin, quelqu’un d’honnete, j’ai hate de retrouver ma France, et de me faire pardonner des péches, et m’excuser aupres des gens que j’ai brisé.
Voilà, je suis dans l’avion, les anges m’accompagnent. Je prépare mes excuses, le remord me ronge. En appesanteur, mes idées sont claires, jamais, cette fille que j’étais ne reprendra le dessus. Je le jure. J’aime Julien. Je veux rester jeune pour l’éternité et vivre avec lui.
Oh ! Le stewart qui vient de passer me fais de l’œil, je me dirige en sa compagnie dans les toilettes et « COUPEZ »
Les nuages se décrochent, la lueur pale de la brume se dissipe ,mes ailes ont disparus. J’entend un rire fort.
Je me retourne, le diable acompagné de ses condisciples, m’avaient mise en scène, ce bonheur artificiel était une mise en scène. Ils s’abattent sur moi, me regardent d’envie,me torturent, le diable me regarde et me dit « il ne faut jamais jurer »
Je lui explique que je voulais seulement essayer le désir, le désir a s’épanouir encore une fois…Trop tard, les flammes m’emportent, je suis condamnés pour l’éternité.
Il faut savoir profiter de la vie sans jouer avec elle.
sinon, ok pour la derniere nouvelle
Je me sens libre, des ailes se sont forgées sur mon dos, j’ai atteint la cime des cieux, les nuages m’accueillent, me plongent dans une atmosphère brumeuse,les anges s’embrassent, ils virvoltent dans tous les sens. Vetue d’une aube blanche en soie, je sautille, je,je, je, oui, je suis en extase. Tous sourires donnés me sont rendus, j’entre enfin dans la vie. Consciente de mes capacités,je suis une nouvelle prédateur u bonheur, je mordille ces ailes pulpeuses qui m’entourent. Je brise la glace pure, transperce les rayons lumineux. Mais j’ai peur, une telle intensité, excessive ne pourra subsister. Plus je m’élève, plus la chute sera longue…
Pourquoi m’a ton donné cette ivresse ? Je n’ai pas eu un parcours exemplaire, au contraire. Ma vie ? La voici :
Fille unique,mes parents ont su me transmettre leur amour. J’ai toujours eu ce que je voulais, mes caprices assouvis. J’obtenais tout. Et c’est peut être la que tout a dérivé… Innocente, je n’ai pas choisit de naitre, on m’a gaté, meme pourrie gatée, rien m’était interdit ! non, rien ! Aucune limite, tout m’était permis.
Au collège, tout les garcons se rinçaient l’œil. Cette sensation de supériorité me plaisait. Je jouais avec ces prépubères, j’enchainais comme on dit. Le fricotage me lassa vite, j’ai perdu à 12ans ma virginité. Les yeux jaloux et envieux des filles m’amusaient, elle me haissaient, mais j’étais populaire, et n’avaient d’autres choix que de m’aimer, pour que je leur cède un peu de ma notoriété ! Mais comme vous le savez, a fore de tout avoir, je poussais toujours plus loin les limites au maximum. Les perversions s’embrasèrent en moi, les jeunes me repugnaient, je flirtais avec les hommes mures, je savourais leur experience. C’est vrai, je n’avais pas de véritable amis, mais tous m’aimais, enfin les garcons pour mon corps et les filles pour ma popularité,mes parents car j’étais l’unique fruit de leur union. J’ai appris plus tard, que nous étions à l’origine 2jumeaux dans le ventre de l’auteur de mes jours, mais in utero, je l’ai tué, sans le vouloir, on apelle ça la loi du plus fort et la génétique.
Puis vite,la drogue me passionna, elle me permetait de vivre plus fort. Mais je voulais toujours plus. Les cours ne m’interessaient pas, mais je reussissais. A l’adolescence, au lycée, je me suis assagis, j’ai arrété l’heroine, et suis tombée amoureuse. Il me donnait aussi ce que je désirait. Mais lui, a su me cerner, et savait me rabaissait. Il a su percer mes mystères ; ses baisers je les aimais. Mes aventures passées, je l’ai regretté.Mais je fuis vers mon destin qui m’appartient, je sais que tout m’est accessible. Une nuit, lors d’une fête ou je suis tant convoitée, j’ai voulu m’essayer aux baisers saphiques, la fille était enchantée, au coin du lit, nous étions deux princesses. Je l’aime. Mais le temps passe, l’amour aussi. Elle est brisée.
Serais-je un jour satisfaite pour l’éternité ? Je m’enfuis vers un autre univers, du haut de mon satelite, je parcours la mer étoilée, que pourrais je faire ? Ou me poser ? Quel endroit n’ai-je pas encore explorer ?Le monde, oui, a 18ans, je partirai a la conquete du monde ! Ce continent américain qui me repugne et m’attire, hollywood ! Le monde est sale, mais, je ne le vois pas. J’espere malgrè mon banheur superficiel, recevoir une lecon.
Une opportunité innatendue me chamboule. Par internet, j’ai amorcé une vie virtuelle avec un certain julien, il ne savais rien de mon physique. Il est comme moi, on se confie durant des nuits endiablés devant l’ordinateur. Ce soir, nous nous promettons de nous voir a notre majorité, il habite de l’autre coté de l’atlantique. Le ciel, nous a choisit pour une nouvelle vie. Enfin, je serais égal a l’être aimé…
Le temps passe, et je l’aime toujours ! Je vais a sa rencontre a NYC. Nous passons deux longs mois, éveil au paradis.
J’ai changé, mon égo diminua, mes chevilles sveltes ! Si, je vous assure ? Il m’a appris que vivre en jouant des autres, ne pouvait que m’ammener la haine.Je le concois. Je suis devenue, enfin, quelqu’un d’honnete, j’ai hate de retrouver ma France, et de me faire pardonner des péches, et m’excuser aupres des gens que j’ai brisé.
Voilà, je suis dans l’avion, les anges m’accompagnent. Je prépare mes excuses, le remord me ronge. En appesanteur, mes idées sont claires, jamais, cette fille que j’étais ne reprendra le dessus. Je le jure. J’aime Julien. Je veux rester jeune pour l’éternité et vivre avec lui.
Oh ! Le stewart qui vient de passer me fais de l’œil, je me dirige en sa compagnie dans les toilettes et « COUPEZ »
Les nuages se décrochent, la lueur pale de la brume se dissipe ,mes ailes ont disparus. J’entend un rire fort.
Je me retourne, le diable acompagné de ses condisciples, m’avaient mise en scène, ce bonheur artificiel était une mise en scène. Ils s’abattent sur moi, me regardent d’envie,me torturent, le diable me regarde et me dit « il ne faut jamais jurer »
Je lui explique que je voulais seulement essayer le désir, le désir a s’épanouir encore une fois…Trop tard, les flammes m’emportent, je suis condamnés pour l’éternité.
Il faut savoir profiter de la vie sans jouer avec elle.
voilà un topic qui revient de loin
bon désolé mais je suis un peu lent à la détente... bref, voici ma nouvelle, inspirée par l'album Le Péril Jaune... n'hésitez pas à donner votre avis !
LES ENFANTS DU PHOENIX
RYO
Le jeune garçon ouvre les yeux, se redresse péniblement en s’aidant des bras. L’obscurité règne dans la pièce malgré la lumière du matin qui s’infiltre entre les murs de bambous. Combien de temps a-t-il dormi ? Et pourquoi sur le dos ? Quelque chose d’inhabituel a dû arriver.
Il tente de se lever pour aller ouvrir la porte de la modeste maison. Une douleur lourde lui traverse l’abdomen. Sa vue tourne rouge. Migraine. Il se recouche, ferme les yeux. Un peu de salive tente de se frayer un chemin au travers de sa gorge mais sans succès. Sensation de soif. Il se voit dans une sorte de boite, vêtu comme pour l’ultime voyage. Une demi-douzaine de moines se penchent sur son corps, le lavent et le maquillent. Il se sent soudainement bien. Il sait que la mort viendra bientôt le chercher. Ne reste plus qu’à l’attendre pour la regarder en face. Le garçon commence alors à méditer, s’approche paisiblement de la fin de cette vie…
Une jeune fille blonde surgit alors sur le côté de la boîte. Lui n’a jamais vu de fille avec des cheveux aussi clairs. Ni de filles avec d’aussi grands yeux. Elle lui prend la main, lui caresse le visage, puis demande d’une voix irréellement douce : Tu as soif ?
Il ouvre à nouveaux les yeux, entend du bruit à l’extérieur de la cabane. La soif. Impossible d’appeler avec sa gorge desséchée. D’un geste du bras, il renverse ce qui se trouve non loin du lit. Le bruit interpelle la personne dehors. La porte s’ouvre finalement…
— Enfin, te voilà réveillé !
— Oui, je… j’ai très soif, s’il vous plaît…
— Tiens, voilà de l’eau.
— Merci. Que… que s’est-il passé ?
— On t’a amené ici pour te soigner. Repose-toi maintenant.
— Mais… où on est, là ?
— Dans les plaines, non loin de Shanghaï.
La paysanne, d’une quarantaine d’années, laisse de l’eau à la portée du garçon et ressort. Il se rallonge et repense à la fille blonde : Peut-être un ange. Oui, sans doute. Aurais-je gagné le droit de revenir ?
MOEMI
La jeune femme pose pied à terre. Son corps, plutôt fin à la silhouette frêle, impose pourtant une impressionnante stature au milieu des nombreux pêcheurs qui s’affairent entre les pontons et autres embarcations. Quelque chose de mystérieux se dégage du masque qu’elle porte sur une grande partie de son visage, au dessus de la bouche. Elle se tourne vers son bateau au fier pavillon rouge et lance à son équipage, en japonais : Quartier libre jusqu’à nouvel ordre.
Pied à terre. La jeune femme descend cette fois-ci d’un pousse-pousse. Elle se tourne vers le coureur et le paye. Celui-ci ne retient pas sa surprise.
— La Dame masquée au sabre est trop généreuse. Lan ne peut pas accepter.
— Je parie que tu n’étais jamais allé aussi loin pour conduire quelqu’un, n’est-ce pas ? Ça vaut bien tout ce qu’il reste de mes trésors.
— Pour ce prix, je vous attendrai quinze jours ici s’il le faut.
— Si tout se passe comme prévu…
— Et bien ?
— Je ne reviendrai pas.
— N’allez pas vous mettre en danger.
A peine ces mots entendus, la jeune femme aperçoit une feuille qui tombe devant la figure du pousse-pousse. Dans un geste foudroyant, elle attrape le sabre attaché à son dos et tranche la fine feuille aussi violemment que précisément. Impressionné, le coursier reprend en riant un peu bêtement : Pardonnez-moi, je ne devrais pas me mêler de vos affaires, de toute façon. Ceci dit, il s’apprête à reprendre le chemin mais se retourne une dernière fois vers la jeune femme.
— Vous êtes japonaise, n’est-ce pas ? Je l’ai reconnu à votre accent. Mais votre chinois est très bon, et vous semblez encore jeune…
Elle esquisse un léger sourire.
— J’ai beaucoup voyagé.
Les dernières informations recueillies ne laissaient que peu de doutes. L’homme qu’elle devait retrouver sur ordre secret de l’empereur vivait très probablement ici.
A l’orée du village, une veille femme vient à sa rencontre.
— Vous cherchez quelque chose, mon enfant ?
— Je suis en mission pour l’empereur. Pourriez-vous me conduire à votre chef ?
— Vous n’êtes pas d’ici, n’est-ce pas ? D’où venez-vous ?
— De l’île d’Okinawa. Pourrais-je voir votre chef ?
— Okinawa dîtes-vous ? Voilà qui est amusant, figurez-vous, car…
— Ecoutez, c’est très important, je dois rencontrer votre chef.
— Et avez-vous une bonne raison pour cela ?
— Je le cherche depuis de nombreux mois. J’ai parcouru l’archipel du Japon, perdu mes deux meilleures amies dans une embuscade à l’Est de Java et navigué sur les mers de Chine. Cela vous paraît-il suffisant ?
— Je vais envoyer quelqu’un pour vous annoncer, miss… ?
— Paramount. Moemi Paramount.
L’homme accueillit la jeune femme dans sa maison, plus spacieuse que les autres du village, mais modeste tout de même. Il lui proposa de s’asseoir et de lui servir du thé, ce qu’elle accepta. Elle lui expliqua sa venue, pacifique mais en vue néanmoins d’obtenir des informations sur ordre de l’empereur. Alors l’homme lui raconta sa vie. Sa naissance sur l’île d’Okinawa. Son entrée au service de l’empire. Le jour où il mena avec succès une mission de sauvetage durant la sécheresse du Mékong. Lui et ses guerriers sauvèrent ce jour là des prisonniers de l’empire malgré l’attaque meurtrière d’un gang de brigands. Puis vint ce voyage à l’Est de Java, entrepris dans le but de tuer un redoutable assassin chinois appelé Le Dragon. Il affronta cet homme, un mercenaire occidental contrairement à ce que tous croyaient. Sur le point de le tuer, Le Dragon lui raconta comment les créatures appelées "anges" venaient chercher les gens avant de mourir. Mais il ne mourut pas. Il se réveilla quelques jours plus tard dans ce village, et décida d’y organiser une révolte afin d’améliorer la vie de ces paysans qui l’avaient sauvé.
— Et… cet ange ?
L’homme sourit.
— Il m’a demandé si quelque chose d’assez fort pouvait me retenir dans ce monde. Sans réfléchir, j’ai repensé à cette superbe guerrière que j’avais combattue durant la sécheresse du Mékong. Elle paraissait si jeune, et pourtant si forte pour diriger ces brigands… J’ai souhaité de toutes mes forces la recroiser un jour afin de mieux la connaître.
— Mais vous l’aviez blessée.
La jeune femme se leva puis retira son masque. Une immense balafre lui traversait le visage, des cheveux jusqu’à la lèvre supérieure. Elle raconta alors sa première mission, un test entre deux unités de combattants de l’empire, durant la sécheresse du Mékong. Ce combat qui la défigura à vie. Son honneur perdu jusqu’à ce qu’elle ne retrouve son vainqueur pour le tuer…
Ou pour l’épouser.
— Tu as le choix, Ryo.
— Je ne peux plus me battre depuis ma défaite contre le Dragon.
— Alors tu dois m’épouser.
— J’en ai gardé une autre séquelle… je ne pourrai plus jamais honorer aucune femme.
Moemi s’approche alors de lui, lui passe un bras autour du coup et l’embrasse.
— Alors nous adopterons un enfant. Une petite Justine, ou un petit Mao.
bon désolé mais je suis un peu lent à la détente... bref, voici ma nouvelle, inspirée par l'album Le Péril Jaune... n'hésitez pas à donner votre avis !
LES ENFANTS DU PHOENIX
RYO
Le jeune garçon ouvre les yeux, se redresse péniblement en s’aidant des bras. L’obscurité règne dans la pièce malgré la lumière du matin qui s’infiltre entre les murs de bambous. Combien de temps a-t-il dormi ? Et pourquoi sur le dos ? Quelque chose d’inhabituel a dû arriver.
Il tente de se lever pour aller ouvrir la porte de la modeste maison. Une douleur lourde lui traverse l’abdomen. Sa vue tourne rouge. Migraine. Il se recouche, ferme les yeux. Un peu de salive tente de se frayer un chemin au travers de sa gorge mais sans succès. Sensation de soif. Il se voit dans une sorte de boite, vêtu comme pour l’ultime voyage. Une demi-douzaine de moines se penchent sur son corps, le lavent et le maquillent. Il se sent soudainement bien. Il sait que la mort viendra bientôt le chercher. Ne reste plus qu’à l’attendre pour la regarder en face. Le garçon commence alors à méditer, s’approche paisiblement de la fin de cette vie…
Une jeune fille blonde surgit alors sur le côté de la boîte. Lui n’a jamais vu de fille avec des cheveux aussi clairs. Ni de filles avec d’aussi grands yeux. Elle lui prend la main, lui caresse le visage, puis demande d’une voix irréellement douce : Tu as soif ?
Il ouvre à nouveaux les yeux, entend du bruit à l’extérieur de la cabane. La soif. Impossible d’appeler avec sa gorge desséchée. D’un geste du bras, il renverse ce qui se trouve non loin du lit. Le bruit interpelle la personne dehors. La porte s’ouvre finalement…
— Enfin, te voilà réveillé !
— Oui, je… j’ai très soif, s’il vous plaît…
— Tiens, voilà de l’eau.
— Merci. Que… que s’est-il passé ?
— On t’a amené ici pour te soigner. Repose-toi maintenant.
— Mais… où on est, là ?
— Dans les plaines, non loin de Shanghaï.
La paysanne, d’une quarantaine d’années, laisse de l’eau à la portée du garçon et ressort. Il se rallonge et repense à la fille blonde : Peut-être un ange. Oui, sans doute. Aurais-je gagné le droit de revenir ?
MOEMI
La jeune femme pose pied à terre. Son corps, plutôt fin à la silhouette frêle, impose pourtant une impressionnante stature au milieu des nombreux pêcheurs qui s’affairent entre les pontons et autres embarcations. Quelque chose de mystérieux se dégage du masque qu’elle porte sur une grande partie de son visage, au dessus de la bouche. Elle se tourne vers son bateau au fier pavillon rouge et lance à son équipage, en japonais : Quartier libre jusqu’à nouvel ordre.
Pied à terre. La jeune femme descend cette fois-ci d’un pousse-pousse. Elle se tourne vers le coureur et le paye. Celui-ci ne retient pas sa surprise.
— La Dame masquée au sabre est trop généreuse. Lan ne peut pas accepter.
— Je parie que tu n’étais jamais allé aussi loin pour conduire quelqu’un, n’est-ce pas ? Ça vaut bien tout ce qu’il reste de mes trésors.
— Pour ce prix, je vous attendrai quinze jours ici s’il le faut.
— Si tout se passe comme prévu…
— Et bien ?
— Je ne reviendrai pas.
— N’allez pas vous mettre en danger.
A peine ces mots entendus, la jeune femme aperçoit une feuille qui tombe devant la figure du pousse-pousse. Dans un geste foudroyant, elle attrape le sabre attaché à son dos et tranche la fine feuille aussi violemment que précisément. Impressionné, le coursier reprend en riant un peu bêtement : Pardonnez-moi, je ne devrais pas me mêler de vos affaires, de toute façon. Ceci dit, il s’apprête à reprendre le chemin mais se retourne une dernière fois vers la jeune femme.
— Vous êtes japonaise, n’est-ce pas ? Je l’ai reconnu à votre accent. Mais votre chinois est très bon, et vous semblez encore jeune…
Elle esquisse un léger sourire.
— J’ai beaucoup voyagé.
Les dernières informations recueillies ne laissaient que peu de doutes. L’homme qu’elle devait retrouver sur ordre secret de l’empereur vivait très probablement ici.
A l’orée du village, une veille femme vient à sa rencontre.
— Vous cherchez quelque chose, mon enfant ?
— Je suis en mission pour l’empereur. Pourriez-vous me conduire à votre chef ?
— Vous n’êtes pas d’ici, n’est-ce pas ? D’où venez-vous ?
— De l’île d’Okinawa. Pourrais-je voir votre chef ?
— Okinawa dîtes-vous ? Voilà qui est amusant, figurez-vous, car…
— Ecoutez, c’est très important, je dois rencontrer votre chef.
— Et avez-vous une bonne raison pour cela ?
— Je le cherche depuis de nombreux mois. J’ai parcouru l’archipel du Japon, perdu mes deux meilleures amies dans une embuscade à l’Est de Java et navigué sur les mers de Chine. Cela vous paraît-il suffisant ?
— Je vais envoyer quelqu’un pour vous annoncer, miss… ?
— Paramount. Moemi Paramount.
L’homme accueillit la jeune femme dans sa maison, plus spacieuse que les autres du village, mais modeste tout de même. Il lui proposa de s’asseoir et de lui servir du thé, ce qu’elle accepta. Elle lui expliqua sa venue, pacifique mais en vue néanmoins d’obtenir des informations sur ordre de l’empereur. Alors l’homme lui raconta sa vie. Sa naissance sur l’île d’Okinawa. Son entrée au service de l’empire. Le jour où il mena avec succès une mission de sauvetage durant la sécheresse du Mékong. Lui et ses guerriers sauvèrent ce jour là des prisonniers de l’empire malgré l’attaque meurtrière d’un gang de brigands. Puis vint ce voyage à l’Est de Java, entrepris dans le but de tuer un redoutable assassin chinois appelé Le Dragon. Il affronta cet homme, un mercenaire occidental contrairement à ce que tous croyaient. Sur le point de le tuer, Le Dragon lui raconta comment les créatures appelées "anges" venaient chercher les gens avant de mourir. Mais il ne mourut pas. Il se réveilla quelques jours plus tard dans ce village, et décida d’y organiser une révolte afin d’améliorer la vie de ces paysans qui l’avaient sauvé.
— Et… cet ange ?
L’homme sourit.
— Il m’a demandé si quelque chose d’assez fort pouvait me retenir dans ce monde. Sans réfléchir, j’ai repensé à cette superbe guerrière que j’avais combattue durant la sécheresse du Mékong. Elle paraissait si jeune, et pourtant si forte pour diriger ces brigands… J’ai souhaité de toutes mes forces la recroiser un jour afin de mieux la connaître.
— Mais vous l’aviez blessée.
La jeune femme se leva puis retira son masque. Une immense balafre lui traversait le visage, des cheveux jusqu’à la lèvre supérieure. Elle raconta alors sa première mission, un test entre deux unités de combattants de l’empire, durant la sécheresse du Mékong. Ce combat qui la défigura à vie. Son honneur perdu jusqu’à ce qu’elle ne retrouve son vainqueur pour le tuer…
Ou pour l’épouser.
— Tu as le choix, Ryo.
— Je ne peux plus me battre depuis ma défaite contre le Dragon.
— Alors tu dois m’épouser.
— J’en ai gardé une autre séquelle… je ne pourrai plus jamais honorer aucune femme.
Moemi s’approche alors de lui, lui passe un bras autour du coup et l’embrasse.
— Alors nous adopterons un enfant. Une petite Justine, ou un petit Mao.
La tête dans les nuages, il pleut dans mon cœur.
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laisse moi etre comme toi
- Messages : 62
- Enregistré le : 06 avr. 2003 13:04
- Localisation : amiens
-
laisse moi etre comme toi
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- Enregistré le : 06 avr. 2003 13:04
- Localisation : amiens
c'est vrai,mais il ne faut pas descendre pour autant les potins...chaqun a ses "hobbies" ou son degré de curiosité..bref la n'est pas le sujet..."Strange_girl" a écrit :Enfin une bonne initiative"ElectraStar" a écrit :J' expliques, l' idée, d'écrire quelques nouvelles en rapport avec Indochine et de les réunir. / Faire 16 nouvelles, en rapport
avec les 16 albums officiels. / . . . et je vous laisse exprimer vos idées !
on a que 2 nouvelles si je me souviens bien.....
faudrait terminer pour decembre,qu'on aille tous notre petit exemplaire
coucou,
je voulais juste dire que je trouve ton idée tres chouette (come florette ouh la la ca va plus moi, en reference a la pub de salade...hum :rolleyes: ) j'aurai bien aimé y participé mais bon l'ecriture et moi ......ca fais deux, par contre il srai possible que apres avoir ecrit toutes vos nouvelles ... tu nous les mets toutes ensemble ds le meme topics ou un truc comme ca, enfin tu vois ce que je veux dire...tu n'ai pas obligé, VOUS n'etes pas obligé, c'est une simple question !...
en tout cas, tu as eu une tres bonne idée ! et continuez de vous "masturber le cerveau !!!" (= reflechir lol 
)
indokiss a vous tous
Lolafée
je voulais juste dire que je trouve ton idée tres chouette (come florette ouh la la ca va plus moi, en reference a la pub de salade...hum
:rolleyes: ) j'aurai bien aimé y participé mais bon l'ecriture et moi ......ca fais deux, par contre il srai possible que apres avoir ecrit toutes vos nouvelles ... tu nous les mets toutes ensemble ds le meme topics ou un truc comme ca, enfin tu vois ce que je veux dire...tu n'ai pas obligé, VOUS n'etes pas obligé, c'est une simple question !...en tout cas, tu as eu une tres bonne idée !
et continuez de vous "masturber le cerveau !!!" (= reflechir lol )indokiss a vous tous
Lolafée
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ComateenNight
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- Enregistré le : 13 avr. 2003 12:59
- Localisation : Rumilly (74)
j'aurais au combien voulu participer a cette "aventure" enecrivant sur mon album préféré depuis toujours, "wax" ... 
mais ce n'est plus possible j'arrive trop tard. Je trouve dommage que 16 personnes seulement ont la possibilité de s'exprimer, mais bon ce sont les regles ...
Les autres, vos nouvelles sont toutes magnifiques
mais ce n'est plus possible j'arrive trop tard. Je trouve dommage que 16 personnes seulement ont la possibilité de s'exprimer, mais bon ce sont les regles ...Les autres, vos nouvelles sont toutes magnifiques
Une petite fée pourra me bercer...
-->POUR PLUS DE WAX SUR LA PROCHAINE TOURNEE
Site de mes créations ( Dessins, Travaux Graphiques, Textes, Fichiers MP3 et MIDI ...) => http://vinc2creations.free.fr
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