Bon, et bien à moi de faire mon compte rendu.
Comme je l'ai dit avant ce n'est que mon 2e concert d'Indochine. J'étais encore toute émoustillée comme une petite fille. Les yeux qui brillent, le cœur qui bat et tout et tout.
Après avoir insisté comme un folle auprès de ma maman elle a accepté que j'y aille. J'ai réussi à obtenir le billet (Halleluya !). Voilà maintenant que j'attends jusqu'au 29. Enfin, j'allais les revoir. Le groupe lequel je me suis éprise d'une affection incroyable.
Il est 20h45. Le 28/01. Je monte dans le train pour Paris. Demain, je vais au grand rex. Je suis terriblement impatiente. J'arrive à 23h chez ma grand mère qui habite an région parisienne. J'aurais aimé me lever tôt pour être la-bas tôt. Mais ma grand mère pense que je vais mourir de froid et m'oblige à y aller plus tard. Je me lèverais donc à 8h.
Le 29/01. Levée 8h. Je saute dans la cuisine. Puis douchée et habillée. Je me fait des sandwichs. Partie à 9h30, ma grand mère m'emmène à la gare de RER. J'arrive vers 10h15 devant le grand Rex. Et là, je suis déçue. Il y a déjà tant de monde ! Je m'installe au bout de la queue et ce, toute seule. Je me demande bien ce que je vais pouvoir faire faire pendant toute la journée. Surtout toute seule

Finalement, je papote avec une mère et sa fille, Léna. Elles viennent de Clermont-Ferrand et était au concert Dimanche dernier. Apparemment, il était bien.
Nous avons discuter pour éviter de penser trop au froid. D'ailleurs, il faisait tellement froid, qu'on finit par ne plus le sentir. Heureusement d'ailleurs.. :mrgreen: Étant pauvre, je n'ai pu me prendre qu'un mcdo mais c'est toujours ça.
Après les heures d'attente, on commençait à s'impatienter et s'exciter.
il est 18h30, il recommence à faire vraiment froid parce que le soleil se couche. Vivement qu'on rentre !
19h. On voit du mouvement. On grogne encore contre ceux qui ont doublé pendant la journée. On gueule sur ceux qui nous double quand la file avance et on leur barre le chemin. Non mais c'est MA place quoi, "love & respect" OU PAS. :mrgreen: Pas de soucis notable pour rentrer. Une petite photo souvenir du trottoir "très propre" après un passage indochinois et je rentre dans le lieu. Je suis d'abord très impressionnée. C'est beau ! J'ai l'impression d'aller à l'opéra, mais en miniature. Je rentre dans la salle, et malgré ma déception du matin, je suis quand même contente de pouvoir avoir ma place dans "l'orchestre". Je me déshabille (mes 50 couches de vêtements pour le grand froid de la journée :mrgreen: ). Je profite pour regarder la grande salle qui est superbe et le ciel que je trouve super réaliste
20h15. Aaaaaaah. Je meurs d'impatience. Les 2 musiques d'intro font monter l'ambiance et je suis de plus en plus excitée. "Je vais les revoir, putain je vais les revoir. PUTAIN JE VAIS LES REVOIR" ("c'est bon on a compris

").
20h30. Du piano. Anh mais je connais ça ! C'est Agnès Obel

Et puis là,
il arrive. Je sais plus où j'en suis. A croire que je vais faire une crise cardiaque

ou alors je me jète sur la scène. En tout cas j'étais débordante de joie, d'excitation et de tout ce qu'il y' a de plus positif.
Le concert : Wouah !

Non vraiment, merveilleux. J'ai tout adoré. J'ai trouvé ça juste incroyable. Je me suis vraiment éclatée. J'étais toute "frissonnée" sur UJDNV

J'ai adoré les autres aussi mais bon, je vais pas tout détaillée. J'étais toute heureuse pour les rappels, lesquels je ne m'attendais pas du tout.
+ 1 pour les fauteuils qui étaient très pratiques et ne m'ont absolument pas gêné. J'en ai même profité pour m'y assoir une fois ( y'avait personne sur scène et j'avais un point de côté !!! ).
Post-concert. 23h15. Je veux plus sortir de la salle. Les boys sont à peine partie que les techniciens sont déjà à s'affairer sur scène.. Je les regarde, des paroles et de la musique plein la tête. Finalement, je remets mes 50 couches tout doucement et je quitte la salle tout doucement encore. Je sors et vais vers la station de métro parce que ma grand mère m'attends déjà à la gare où elle m'a déposé le matin. Je suis toute déprimée. C'est déjà fini. Ils me manquent déjà..