Je la vois peu à peu qui sombre dans l'ombre
Elle vie en couple avec le silence
Sa vie elle l'a tissé dans l'innocence
Petite fleure blanche des jardins clos
Jeune fille qui nous tourne le dos
Triste de voir que sa vie ne vaux pas trop le coup
Elle a choisi le dur plutôt que le doux
Elle finira toute seule sur cette Terre
Mais ici bas qu'est-ce que ça peut leur faire ?
A trop pleuré elle s'est fait mal
Non ! Maryline, ne fait rien de sale !
Mains nues, blanche pâleur de la souffrance
Un visage montrant sa délivrance
Et la petite rivière rouge coulant de sa main
Voudra dire que pour Maryline pas de lendemain
Et pour illustré le poème une petite photo que j’ai fais, bisous
