L’HOTEL WIKMARK
Elle s’avança doucement vers le guichet, l’hôtelier semblait l’attendre comme un fauve qui se prépare a bondir sur sa proie, une belle et jeune proie : Maryline. Elle s’avança les pas hésitants , sa robe rouge mouillée ses cheveux bruns tombants sur ses épaules et son maquillage noir coulant sur ses jolies joues, qu’elle age pouvait-elle avoir ? sont corps était celui d’une femme d’une vingtaine d’années, mais ses yeux ressemblaient a ceux d’un enfant perdu.
Plus que quelque pas, et elle se trouvera en face de cette homme au guichet, elle serra entre sa main droite les lanières de son sac en cuire. L’homme se penche et d’une voix roc et peu aimable fit :
- Bonsoir mademoiselle.
Elle répondit d’une voix a peine audible, elle n’osa même pas regardait l’hôtelier dans les yeux. Elle lui demanda une chambre avec un grand lit, et quand elle leva les yeux, elle croisa son regard qui semblait dire :
« encore une petite traîner qui cherche a faire ses petites affaire dans l’hôtel… »
Maryline lui arracha la clef de sa chambre et parti d’un pas rapide.
Elle parcouru les couloirs sombre au papiers peints vert et moisi. Elle arriva devant sa porte « 13 » était le nombre de la chambre. Elle l’ouvrit et entra. C’était une pièce minable, elle avait peu d’argent et ne pouvait pas se permettre d’allait dans un hôtel « normal ». Mais Maryline aurait voulut mieux.
Elle alla s’asseoir sur le lit, et devint immobile, pensif. Elle ouvris son sac et en sorti des sous vêtement noir, elle alla a la salle de bain et les enfila, et remit sa robe rouge moulante qui commençait a séchait, elle enleva son maquillage noir, et derrière se masque, un ange apparu, elle arrangea ses cheveux et retourna sur le lit, sur la table de nuit il y avait une lampe et un téléphone, doucement elle le pris et composa de sa main tremblante un numéro.
- je t’attend, je suis déjà toute prête… dans la chambre 13. A tout a l’heure, dit-elle de sa petite voix agréable et douce.
Elle reposa le téléphone. Les minutes qui suivirent furent longues et ennuyantes, elle s’allongea et resta sur le dos à admiré le plafond. Et après une heure d’attente on frappa. Elle alla ouvrire, les main tremblante, elle pris la poigné de sa porte fermement dans sa main droite, et l’ouvrit calmement. Derrière elle y trouva un homme grand , nettement plus âgé qu’elle, il devait avoir, trente, ou trente cinq ans, il s’appelait Niko . Ses cheveux noir et ébouriffé caché un peu son regard ténébreux, un regard timide et intimidant, sa peau était pâle et ses lèvre mince, tout habillait de noir il semblait si mystérieux et inaccessible. Il s’avança vers elle, et la regard un instant avec un pâle sourire : ses lèvres paraissaient avoir peu sourie dans leur vie. Il effleura le corps de la jeune fille et entra, doucement derrière lui, Maryline ferma la porte.
Ils allèrent s’assoires sur le lit, la peur de Maryline monta , elle tremblait, alors pour la rassurer il l’a prit dans ses bras. Elle plaqua ta tête sur sa poitrine et écouta son cœur battre, il lui caressa ses cheveux bruns, avec une délicatesse qu’elle n’avait jamais connue d’un garçon, elle ferma les yeux et aurait voulut vivre et mourir ses bras si chauds, si accueillants et tendres, ils ignoraient le temps qui passé, les murs de la chambre les coupaient du monde extérieur, ils étaient seul, dans leur monde, cette pièce minable.
Maryline redressa la tête et approcha ses lèvres de celle de Niko, mais il l’a repoussa doucement, mais il l’a garda dans ses bras, et lui fit dans un murmure
- tu crois que c’est comme sa que sa doit se passé ? il y a d’autre endroit… d’autre moment mieux.
Elle le regarda, et s’abandonna de nouveau dans ses bras, perdu, triste ou peu être heureuse ? Son visage ne dévoila rien. Et puis le téléphone sonna, elle le pris, pensant que c’était l’hôtelier, mais ce n’était pas lui, mais sa mère :
- Petite traîner ! Alors comme sa tu ma fait croire que tu dormait cher ton amie alors que tu baise avec un inconnu ! Tu vas voir quand tu vas revenir à la maison tu vas le payer très cher petite garce, tu vas voir.
Perdu, inquiète elle raccrocha sans avoir dit mot, elle se mit a pleuré, Niko avait raison, sa ne devait pas se passé comme ça, mais elle était si triste, si seule, demain il lui faudrait retourner cher elle, et elle recevrait une belle correction… une fois de plus.
Elle s’endormit blotti contre lui, celui qu’elle aimait, elle dormit avec la peur du lendemain…
Ses longues heures de sommeille parurent trop courte, quand Niko se réveilla il était seul sur le lit. Maryline se lavait dans la salle de bain on entendait l’eau coulait, un vrais sourire vint se graver sur le visage de l’homme, il se leva et alla la rejoindre.
Il l’a vit, par terre, le corps nue et rouge, les yeux fermait, le chagrin envolé, il l’a vit, mais elle était déjà parti.
kisss : p