Dollville chap 1à3

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Dancetaria_la_gamine
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Message par Dancetaria_la_gamine »

ça fait un moment que je l'ai terminé... mais, je n'osais pas vraiment la montrer, par peur tout simplement...

Finalement, c'est une sorte de... on va dire "conte étrange", c'est aussi un apperçu de mon univers et des thèmes qui me touche...

Les critiques, insultes, et conseilles en tout genre son bienvenue =)


DOLLVILLE



1. Une ville et des gens heureux


Autre fois, Dollville était la ville la plus belle, la plus chaleureuse, la plus joyeuse. Bref, une ville incomparable, un coin de paradis, ou tout les jours le soleil brillait et répandait sa douce chaleur, ou les arbres ne perdaient jamais leurs feuillages et restaient toujours vert, toujours beau, les fleurs ne fanaient jamais. Oui, Dollville était un petit coin de paradis terrestre.
Malgré tout, la population n'affluait pas vers elle, car juste une petite centaine d'honnêtes et joyeuse gens y demeuré.
Les maisons gentiment alignées, les unes en face des autres, faite en bois, peintes en blanc, avec un petit jardin devant et derrière, donnaient cette aire si "mignon" qu'ont certains petits villages.
Les enfants jouaient toute la journée, les parents se baladaient, et ne travaillaient pas : la nourriture ne manqué jamais à Dollville, pas besoin d'argent !
Tous les habitants, satisfait de cette charmante ville, ne pensaient jamais à la quitter. C'est vrais, pourquoi quitter un endroit parfait ? Cela serai pure folie !

Le plus étrange, peu être à Dollville, était qu'il n'y avait pas de cimetière... Non, à Dollville il n'y avait pas la Mort ! Mais, quand venait l'heure pour certaines personnes, ils partaient d'une manière bien surprenante :
Tous allaient dans le grand chapiteau, et la personne qui devait partir faisait un numéro spectaculaire et drôle, comme dans un cirque, et puis, du haut d'un immense plongeoir, sautait, pour plonger dans un puit profond, et jamais aucun n'en revint. Personne ne demandait où allé ces gens là... cela paraissait tellement banal de s'en aller dans un puit.
Seule une personne dans ce village avait été, un moment donnée, un peu différent des autres : Catherine Stuart, une jeune et très jolie jeune fille de 15 ans.
Catherine était d'une pureté incroyable, et même physiquement. Une peau laiteuse, mit en valeur par de longs cheveux châtain foncé, avec quelques jolis reflets roux, merveilleusement ondulés, et des yeux marron-vert toujours rêveurs. Mais voilà, malgré une vie sans soucies, elle avait une peur secrète du noir, pas de la nuit, mais du noir totale, le noir qui vous fait comprendre que vous êtes tout seul, ou bien que n'importe quoi se cache prés de vous. Mais sa peur avait été surtout prononcée durant son enfance : de 5 a 7 ans, elle dormait le jour et vivait la nuit. Elle se posa aussi quelques questions sur le puit, mais finalement, elle semblait être un peu indifférente à ce sujet là, car, ce qui était le plus important, c'était le spectacle. Mais, au fur et a mesure que le temps passé, les questions, s'estompaient.
Ce jour là, elle s'amusait à comptait les fleurs dans la prairie, arrivait à 145 marguerites, elle décida de rentrer a la maison. A l'horizon, le soleil, doucement se couchait.


" La bonne emmène la soupière
Je sais qu'elle s'ra meilleur qu'hier
Et je n’aime pas celle de ma mère
Elle est fade et trop amer
Mais je t'aime ma maman !
Même si tu rates ta soupe tout l'temps ! "


Chantait-elle gaiement en courant sur le chemin de sa jolie maison où sa famille l'attendait pour le dîner. En arrivant, tout était déjà prés. Elle embrassa sa maman et lui fit un gros câlin, puis fit pareille avec son papa. Sur la grande table était disposé les plats délicieux de viandes et de légume de diverses sortes. Sont frère Shean, 10 ans et demi, était assit à la droite de son père, et sa soeur Anna, 6 ans, à gauche de sa maman, et elle, s'assit à sa droite. Tous se servirent généreusement, et ils parlèrent de leur journée gaiement, plein d'étincelles dans leurs yeux.
- Alors Anna, tu as passé une bonne journée ? Demanda Sue, la maman.
- oui maman ! J'ai joué au ballon et à la poupée. Répondit la fillette de 6 ans
Sue remplis l'assiette de sa fille, et lui répondit qu'elle était heureuse qu'elle ait passé une bonne journée.
- Et toi Shean, raconte nous un peu ta journée ? Dit Paul, le papa.
- J'ai été pêcher avec Jean, Christian et Michel. Répondit Shean heureux.
- Et vous avez attrapé des poissons ? Demanda Paul
- oui, une énorme baleine, mais on l'a laissé partir.
- Ho ! Y a des baleines dans la rivière ? Demanda Anna émerveillé.
Tous se mirent à rire aux éclats, Sue lui expliqua que Shean plaisantait, et qu'il n'y avait pas de baleine dans la rivière.
- Et toi Catherine, comment a était ta journée ? Demanda Sue en étouffant sont rire.
- J'ai compté les fleurs.
- Tu en as comptais combien ma chérie ?
- 145 marguerittes.
- Tant que ça ? C'est formidable ma puce! Dit Paul
- Oui. Répliqua simplement Catherine
Et puis le dîner continua, et tous parlèrent joyeusement. A la lin du dîner, ils chantèrent, et avant d'aller se coucher, Paul raconta un conte devant la cheminée. Un conte ou les méchants deviennent gentils, ou les dragons deviennent des chevaux blancs. Et bien sur, il n'y avait jamais de mort, car ils ignoraient la mort.
Puis, après ça, il était temps d'aller dormir, Sue allait border les filles, et Paul bordait Shean.
Puis, Sue alla se coucher et Paul la rejoignit, ils discutèrent un instant, et dormirent.










2. l'étranger




Le jour se leva enfin sur Dollville, une autre journée splendide et merveilleuse s'annonçait. Tous réveillaient à 9 heures, tous de bonne humeur, tous à discuter joyeusement, et a manger le petit déjeuné ensemble. Puis, à 9 heures trente, tous partirent dans leurs occupations. Anna resta dans les jupes de sa maman adoré, Shean alla construire une nouvelle cabane avec ses amis, et Catherine alla dans la prairie, compter les fleurs.

" J'aime, j'aime compter
Compter les jolies fleurs

J'aime, j'aime compter
Ca fait mon bonheur

J'aime, j'aime les fleurs
J'aime leurs douceurs

Mais pas en bouquet :
Elles n'ont plus de pieds !"

Chantait-elle joyeusement. Finalement, elle ne compta pas les fleurs, elle resta assise dans la prairie, et caressa l'herbe de la paume des mains, elle aimait ça, parce que cela lui donnait des chatouilles. Après un moment seule, les amies de Catherine vinrent la voir, c'étaient Peggy et Lida.
- hoé Cat ! Hoé ! Crièrent les deux filles
Catherine leur fit un grand signe, et les deux filles coururent jusqu'à elle, puis elles s’allongèrent de fatigue. Tout d'un coup, Catherine se leva et dit :
- Quoi ? Vous êtes fatigué ? Allé ! On joue !
Peggy et Lida se regardèrent l'air surprise. Catherine toucha Peggy et dit :
- c'est toi le loup !
Alors Lida bondit, et s'éloigna de Peggy, qui elle était toujours dans l'herbe, pendant se temps, les deux jeune filles se dispersèrent dans la grande prairie. Peggy avait décidée d'attraper Lida. Mais Catherine continuait de courir, elle alla dans l'herbe haute, si haute qu'elle lui arrivait au cuisse, puis en s'aventurant plus loin, on ne vit bientôt que ça tête flotter. Tout à coup, elle trébucha, et fut alors hors de vue de Peggy et de Lida.
- Aï. Fit-elle car son genou lui faisait mal, mais rien de grave, une simple égratignure.
Lida et Peggy, ne voyant plus leur amie, se mirent a l'appeler. Mais Catherine ne répondit pas, bien trop occupait a regarder l'étrange découverte.
Il était allongé, les bras le long du corps, habillait avec des vêtement d'une autre époque... début du 19 ème siècle, quelque chose comme ça, en tout cas, très élégant, et cela lui allait tellement bien. Ca peau était blanche, mais un blanc si froid, des cheveux noir long et lisse. Un long visage, de belle lèvre bien dessinée, un visage doux, un peu féminin et pourtant tellement masculin en même temps... seule détaille frappant : l'homme n'avait pas de sourcils Et il était beau. Il dormait paisiblement, sa poitrine montait et descendait tranquillement. Doucement elle s'approcha. Il ouvrit tout à coup les yeux.
- Bonjour Darling Dit-il d'une voix roc
- Bonjour monsieur. Dit-elle poliment
- Suis-je bien réveillé pour voir une aussi jolie jeune fille ? Dit-il en souriant.
Elle rougit. Lida et Peggy arrivèrent toutes les deux.
- ho ! Qui c'est Cat ? C'est un ami a toi ? Demanda les deux jeunes filles d'une même voix.
- non ce n'est pas un ami a moi, il...
- Tu ne me veux pas comme ami ? Bien sur que si, nous sommes ami. Je m'appel Marilyn Brian South
- Marilyn ? C'est un nom de fille ça ! Se moqua gentiment Lida
- Oui, ma mère espérait avoir une fille...
- ça vous va très bien. Dit Catherine sincèrement.
- est vous, c'est quoi vos prénoms ?
- Moi c'est Peggy Rosborn, et elle c'est Lida Lock et...
Il tourna la tête vers Catherine.
" et toi Darling ?" c'est ce qu'il aurait voulu dire, mais trop tard, Peggy continua :
- ...elle c'est Catherine Stuart.
Il dit aux jeunes filles qu'il était très enchanté, il demanda également si elles voulaient bien aider un grand bonhomme comme lui à se mettre debout. Polies, les jeunes filles s'exécutèrent. Puis, elles lui posèrent mille questions.
- Dit, vous êtes de la région ? On ne vous a jamais vu ! Vous habitez ou ? Pourquoi vous étiez là allongé dans l'herbe haute ?
Il ris, et dit qu'il y aurait tout le temps pour répondre aux questions. Mais elles continuèrent à lui parler avec toujours autant d'entrain et de joie. Catherine était plus silencieuse, elle le regardait avec des yeux qui semblaient pleins de questions, pleins d'étoiles. Mais elle ne faisait que boire les paroles de Brian. Peggy et Linda lui tenaient la main, Catherine, elle, tenait la main de Linda.
Brian expliqua à celles-ci qu'il cherchait quelqu'un pour l'héberger. Linda et Peggy s'excusèrent, car dans leur maison il n'y avait pas de chambre d'hôte, mais par contre Catherine lui dit que cher elle il y en avait une, et que cela ne poserait sûrement aucun problèmes a ses parent de l'héberger un temps. Brian parut très heureux, et cela plus a Catherine.

Ses deux amis rentrèrent cher elles. Elle laissa Brian devant la maison, pendant qu'elle allait demander à sa mère si il était possible d'inviter Brian.
- Maman ! Maman !
Sa mère assise sur une chaise longue se redressa tranquillement. Elle embrassa tendrement sa fille, et lui demanda ce qui se passé.
- Il y a un gentille monsieur qui voudrais être héberger quelque jours !
- hum.... oui, nous avons une chambre d'hôte, mais fais le d'abord venir ma chérie, je ne veux pas de gens sans gênes à la maison. Dit-elle sur un ton léger.

Et le soir Brian fut presque considérait comme un membre de la famille. Au dîner on lui posa beaucoup de questions.
- Dit moi Brian, d'ou est ce que vous venez déjà ? Demanda Paul
- De Sonsoros, c'est à plus de 100 Km d'ici. Répondit Brian
- Et qu'est ce qui vous amène ici ? Fit Sue
- J'aime voyager, et mon chemin m'a conduis jusqu'ici. Et comme je trouvais le coin plutôt joli, je voulais m'y arrêter pour le connaître d'avantage.
- Y a pas deux endroits comme ça de part le monde, je pense. Dollville est vraiment unique, on a la chance d'y vivre. Avoua Paul. D'ailleurs, pourquoi n'y restez vous pas ? Ici, on ne manque de rien.
Brian expliqua qu'il n'était pas fait pour rester sur place trop longtemps, qui aimait vraiment le voyage. Mais il avoua que peu être quand il sentira le moment il se fixera quelque par, sûrement à Dollville.
Le dîner fut long, mais très intéressant.
Avant de quitter la table, Paul annonça joyeusement, que demain il ferait un numéro formidable au chapiteau. Ses enfants furent fous de joie.
Modifié en dernier par Dancetaria_la_gamine le 26 mars 2006 04:04, modifié 1 fois.



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paradizegirl
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Message par paradizegirl »

Histoire très prenante ...très bien écrite. Malgré quelques fautes dûes peut-être à une frappe trop rapide.
Je suis fan lol
Je te prête ma lune, ma plume et tous mes motd
Je dévire de bord.

Mes aïeux (La dévire)

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quatreL
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Message par quatreL »

quelques fautes "bêtes" oui, mais je trouve ça bien écrit ! Ca donne envi de connaitre la suite, n'hésite pas à faire partager tes chapitres au fur et à mesure que tu avances, ce ne serait pas sympa de nous laisser sur notre faim ;)
"A aucun moment de l'histoire, le respect humain n'a brillé d'un très vif éclat." Charlie Chaplin
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Dancetaria_la_gamine
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Message par Dancetaria_la_gamine »

Paradize et 4L ==> merci beaucoup vous deux :3 je suis sincèrement désolé pour les nombreuses fautes, et pourtant, cette nouvelle je l’ai lu, et relu V_V, c’est pour ça que j’ai longtemps hésité à faire lire cette nouvelle à d’autre personne que mon petit cercle familiale, mais j’aime écrire depuis que j’ai 8 ans, et j’éprouve de plus en plus le besoin de faire lire… malgré la peur de mettre en colère certaines personnes à cause de l’orthographe…
enfin...

voilà le prochain chapitre.

Merci. :)

3. le grand numéro




- Catherine ! Catherine ! Réveille toi ! C'est aujourd'hui ! Papa est parti se préparer au chapiteau ! Maman dit qu'il faut vite se préparer. Cria Shean
Il ne fallait pas manquer ça ! Catherine se leva d'un bond, se lava et s'habilla à une vitesse extraordinaire, puis, elle descendit rejoindre les autres pour le traditionnelle petit déjeuné. Tous bavardaient gaiement sur le numéro de Paul.
- Je me demande ce qu'il va faire ! J'aimerai bien des acrobaties ! Fit Shean les yeux plein d'étoiles
- non ! non ! En clown ! Ho ! Et aussi qu'il dompte des lions ! Ho ! Et des éléphants ! fit Anna
Tous se mirent a rire, Sue expliqua à sa fille que Paul ne dresserai pas un lion ni un éléphant, car son père ne saurais comment s’y prendre. Alors, la petite fille ajouta :
- Ho... Alors des petits chiens ?
- Oui, de jolis petits chiens blanc. Fit Sue. Bon, allé, il est temps, mettez les bols dans l'évier, rangez la nourriture, après cela, nous irons au chapiteau. Allez ! Allez, un peu d'entrain, ma troupe ! Dit leur mère de très bonne humeur.
C'est à se moment là que descendit Brian, tout de noir vêtu, Sue alla vers lui et lui proposa quelque chose à manger. Brian refusa, parce qu'il n'avait pas vraiment faim, mais Sue insista tellement, que finalement, pour faire plaisir à celle-ci, il accepta quelques petits gâteaux fait maison.
Il voulut demander ce qu'était ce spectacle, mais, finalement ne resta silencieux, et se contenta d'écouter les enfants parler avec joies.
Arrivé au chapiteau les tribunes étaient pleines de villageois. Tous saluèrent la famille Stuart. Justement, elle avait le droit à un rang tout spécial, juste devant la grande piste.
Quand tout le monde fut installé, le show commença.
La musique retentit. Le rideau se leva. Et un clown grotesque apparue. Enorme nez rouge, grosse bouche rouge, bleu, vert et jaune autour des yeux. Une salopette très large, avec en dessous une chemise à carreaux multicolores, une paire d’immenses chaussures rouge vif. Quand il marchait, on croyait voir un pingouin de toutes les couleurs. Il n'avait encore rien fait, et pourtant, les rires retentissaient dans le chapiteau.
Et les blagues s'enchaînèrent, les pirouettes, les acrobaties ridicules.... Et enfin, le grand saut final dans le puit. Silence. Roulements de tambours. Et le voilà disparu dans le puit. Et tous rirent, tous applaudirent.
- C'est bien Paul ça ! Dirent certains.
Au déjeuner, les Stuart parlèrent de ce magnifique spectacle avec toujours cette même gaieté. Tout le monde avait trouvé Paul splendide. Brian, lui resta silencieux. Catherine était la seule à avoir remarqué qu'il n'avait pas ris durant le show.
L'après midi, Brian alla voir Catherine qui jouait avec un ruban rouge derrière la maison. Il lui demanda si elle voulait venir dans la prairie avec lui. Celle-ci, sans hésiter, ce leva et dit oui. Pendant le chemin, Brian tint la main de Catherine comme si elle était une petite fille. Arrivédans la prairie elle le lâcha, et se mit à courir en riant. Lui, se contentant de la regardait avec un regard fascinait et attristait à la fois. Tout à coup, elle tomba, et disparue dans l'herbe. Inquiet qu'elle se fasse mal, il accourra à elle. Il lui demanda si elle n'avait rien. Et elle lui répondit joyeusement qu'elle allait très bien. Ils se regardèrent, puis, la jeune fille demanda :
- Pourquoi tu ne riais pas ?
Il l'a dévisagea, comme si il ignorait de quoi elle parlait. Puis, il baissa la tête, et après un instant de réflexion, il lui dit que ce n'était pas drôle.
- Tu es bien le seul alors ! Dit-elle en s'allongeant sur l'herbe.
Brian demanda à celle-ci, si elle avait sincèrement trouvé cela amusant. Elle lui répliqua que oui, et lui demanda pourquoi, et il répondit :
- Il est mort. Ton père est mort Catherine.
Celle-ci garda son sourire et continua de fixer les quelques nuages qui n'étaient que de passages.
- Mort ? Ça veut dire quoi ? Qu'il est heureux de sont spectacle, non ?
Il soupira.
- Je sais, c'est dur à accepter...
Elle se redressa, elle ne comprenait vraiment pas.
- Accepter quoi ?
- La mort de ton père.
- Mais ça veux dire quoi ce mot ? Insista Catherine
Il lisait dans ses yeux la sincérité...Elle ne savait donc pas à son age se que signifié le mot "mort" ? Mais comment lui expliquer. Finalement, il décida de ne pas lui dire, préférant qu'elle garde sa naïveté et son innocence.
Mais, Catherine, curieuse insista tellement que finalement il craqua. Il s'approcha rapidement de la jeune fille, et il l'embrassa, elle se coucha sur l'herbe, mit ses mains dans les long cheveux de Brian. Quel agréable baisé, les lèvres de l'hommes étaient si douce, tiède et humide... mais quand elle se décollèrent de la bouche de Catherine, elle eut un goût agréable et horrible à la fois. Se rendant compte de ce qui venait de se passer, elle se leva et partis en courant, le laissant seul les yeux pleins de regrets

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quatreL
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Message par quatreL »

L'orthographe n'est pas le plus important, quelqu'un peut toujours corriger à ta place, en revanche, ce que tu écris est unique ;)
"A aucun moment de l'histoire, le respect humain n'a brillé d'un très vif éclat." Charlie Chaplin
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Dancetaria_la_gamine
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Message par Dancetaria_la_gamine »

4L ===> merci T^T ! Oui c'est vrais, il y a moyen dans mon entourage sans doute de voir pour l'ortho...mais j'ai peur de déranger, les gens on d'autres choses à faire plus importante, et je le comprends ! ^^

je continue avec le chapitre 3

3. le grand numéro




- Catherine ! Catherine ! Réveille toi ! C'est aujourd'hui ! Papa est parti se préparer au chapiteau ! Maman dit qu'il faut vite se préparer. Cria Shean
Il ne fallait pas manquer ça ! Catherine se leva d'un bond, se lava et s'habilla à une vitesse extraordinaire, puis, elle descendit rejoindre les autres pour le traditionnelle petit déjeuné. Tous bavardaient gaiement sur le numéro de Paul.
- Je me demande ce qu'il va faire ! J'aimerai bien des acrobaties ! Fit Shean les yeux plein d'étoiles
- non ! non ! En clown ! Ho ! Et aussi qu'il dompte des lions ! Ho ! Et des éléphants ! fit Anna
Tous se mirent à rire, Sue expliqua à sa fille que Paul ne dresserai pas un lion ni un éléphant, car son père ne saurais comment s’y prendre. Alors, la petite fille ajouta :
- Ho... Alors des petits chiens ?
- Oui, de jolis petits chiens blanc. Fit Sue. Bon, allé, il est temps, mettez les bols dans l'évier, rangez la nourriture, après cela, nous irons au chapiteau. Allez ! Allez, un peu d'entrain ma troupe ! Dit leur mère de très bonne humeur.
C'est à se moment là que descendit Brian, tout de noir vêtu. Sue alla vers lui et lui proposa quelque chose à manger. Brian refusa, parce qu'il n'avait pas vraiment faim, mais Sue insista tellement, que finalement, pour faire plaisir à celle-ci, il accepta quelques petits gâteaux fait maison.
Il voulut demander ce qu'était ce spectacle, mais, finalement resta silencieux, et se contenta d'écouter les enfants parler avec joies.
Arrivé au chapiteau les tribunes étaient pleines de villageois. Tous saluèrent la famille Stuart. La famille de Catherine avait le droit à un rang tout spécial, juste devant la grande piste.
Quand tout le monde fut installé, le show commença.
La musique retentit. Le rideau se leva. Et un clown grotesque apparue. Enorme nez écarlate, grosse bouche rouge, bleu, vert et jaune autour des yeux. Une salopette très large, avec en dessous une chemise à carreaux multicolores et une paire d’immenses chaussures rouge vif. Quand il marchait, on croyait voir un pingouin de toutes les couleurs. Il n'avait encore rien fait, et pourtant, les rires retentissaient dans le chapiteau.
Et les blagues s'enchaînèrent, les pirouettes, les acrobaties ridicules.... Et enfin, le grand saut final dans le puit. Silence. Roulements de tambours. Et le voilà disparu dans le puit. Et tous rirent, tous applaudirent.
- C'est bien Paul ça ! Dirent certains.
Au déjeuner, les Stuart parlèrent de ce magnifique spectacle avec toujours cette même gaieté. Tout le monde avait trouvé Paul splendide. Brian, lui resta silencieux. Catherine était la seule à avoir remarqué qu'il n'avait pas ris durant le show.
L'après midi, Brian alla voir Catherine qui jouait avec un ruban rouge derrière la maison. Il lui demanda si elle voulait venir dans la prairie avec lui. Celle-ci, sans hésiter, ce leva et dit oui. Pendant le chemin, Brian tint la main de Catherine comme si elle était une petite fille. Arrivé dans le pré, elle le lâcha, et se mit à courir en riant. Lui, se contentant de la regardait avec un regard fascinait et attristait à la fois.
Tout à coup, elle tomba, et disparue dans l'herbe. Inquiet qu'elle se fasse mal, il accourra à elle. Il lui demanda si elle n'avait rien. Et elle lui répondit joyeusement qu'elle allait très bien. Ils se regardèrent, puis, la jeune fille demanda :
- Pourquoi tu ne riais pas ?
Il l'a dévisagea, comme si il ignorait de quoi elle parlait. Puis, il baissa la tête, et après un instant de réflexion, il lui avoua que ce n'était pas drôle.
- Tu es bien le seul alors ! Dit-elle en s'allongeant sur l'herbe.
Brian demanda à celle-ci, si elle avait sincèrement trouvé cela amusant. Elle lui répliqua que oui, et lui demanda pourquoi, et il répondit :
- Il est mort. Ton père est mort Catherine. annonca-t-il gravement
Celle-ci garda son sourire et continua de fixer les quelques nuages qui n'étaient que de passages.
- Mort ? Ça veut dire quoi ? Qu'il est heureux de sont spectacle, non ?
Il soupira.
- Je sais, c'est dur à accepter...
Elle se redressa, elle ne comprenait vraiment pas.
- Accepter quoi ?
- La mort de ton père.
- Mais ça veux dire quoi ce mot ? Insista Catherine
Il lisait dans ses yeux la sincérité...Elle ne savait donc pas à son age se que signifié le mot "mort" ? Mais comment lui expliquer? Finalement, il décida de ne pas lui dire, préférant qu'elle garde sa naïveté et son innocence.
Mais, Catherine, curieuse insista tellement que finalement il craqua.
Il s'approcha rapidement de la jeune fille, et l'embrassa, elle se coucha sur l'herbe, mit ses mains dans les long cheveux de Brian. Quel agréable baisé, les lèvres de l'hommes étaient si douce, tiède et humide... mais quand elle se décollèrent des lèvres de Catherine, elle eut un goût agréable et horrible à la fois. Se rendant compte de ce qui venait de se passer, elle se leva et partis en courant, le laissant seul les yeux pleins de regrets.

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quatreL
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Message par quatreL »

lol Dancetaria il faut dormir la nuit ;) Tu as mis deux fois le même chapitre !
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