Indo un soir, Indo l'Histoire.
Ce n'était pas un Rêve, pas un Eden, mais probablement un de ces 'Rien' aux R plus grands que les étoiles. Parce qu'il y a intrinsèquement des choses tellement inqualifiables qu'on souhaiterait mourir plutôt que de les dire, mourir et penser qu'enfin peut-être notre Silence pèse tous les mots du monde.
Eviscère-moi.
Indo je ne sais trop pourquoi, je ne sais trop comment, mais Indo oui, ça je le Sais. Cœur de pierre, cœur d'artichaut, cœur de chimère, cœur de sang, cœur de poussière, qu'importe bordel qu'importe ! Cœur virgule c'est tout ce qui importe point.
Ni June ni Alice, ni Alice ou June, au diable ! étrangement on s'est tous reconnus. 9000 paires d'yeux dans la ronde bleutée du Zénith. C'est définitivement vrai que la circularité est belle.
On en a fait, des étincelles.
Mettant de côté l 'aspect 'vital' de toute 'littéralité', et un et trois et quatre, au placard, une multiplication pour mémoire, ouh wah ouh wah ouh wah ohlala ! [...] 18000 miroirs, fusion d'âmes en caléidoscope : Nico j'ai vu Charline en toi, Charline j'ai vu la fille en toi, Monsieur j'ai vu Stef en vous...On était Uns, voilà tout. Un, beaux, beaux, uns, c'est un beau souvenir, un. Non, tromperie, faute, rectification : des milliers, autant de souvenirs que de millièmes de paillettes temporelles en une seconde. On était sur une ligne tous ensemble, une ligne c'est infini, des points à perte de vue et de pensée...On était là, tous, des milliers, ensemble ou tout seul on choisit, on s'en fout puisqu'en Nous, on était Toi ou Moi, Lui ou encore Elle.
Bref, un pronom, un sacré Nom.
Il y avait des voix qui chantaient, des mains qui hurlaient l'amour intérieur de leurs veines enflammées. Parce que la passion, la Passion...passionnée, passionnante...assassine. On a figé un sacré bout de Vie dans ce souvenir toulousain. On s'en moque, on est égoïste, on le vit bien. On le garde pour Nous ce bout de Vous, pour Nous ce bout de...Nous ?
Il y a des gens qui ont le Cœur comme des rivières et des chocolats mous. De dentelle le mien il est fait. Le nôtre quoi, en somme. L'Addition, garçon : Nico un crochet, le public son jumeau envolé, Indochine la laine. On l'a tous bien tissée notre bribe de conte de fées. Dans nos mains, un peu de thé, un jardin, une colline.
Vous comprendrez.
Moi, mon Cœur, hier soir, Toulouse, Indo, vous l'avez brodé, voilà tout.
Indo, tu Vis, je Vis, Toulouse, on a tous Vécu.
Salement Vécu. <3
* Je crois que l'on respire et c'est Vous qu'on inspire *
Dentelle Toulousaine (19.10.2006)
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I.kiss.around
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- Enregistré le : 16 sept. 2006 22:51
- Localisation : Toulouse
Dieu ce que c'est beau.
Si j'avais su, jongler avec les mots ainsi. Les faire miens et enchaîner ceux qui s'attarderont à les découvrir. Captive de ta toile...
J'aime^^
Si j'avais su, jongler avec les mots ainsi. Les faire miens et enchaîner ceux qui s'attarderont à les découvrir. Captive de ta toile...
J'aime^^
Indo dans l'âme...
"Si demain, si demain dans ta rue, si demain dans ta rue, ou si demain dans ta ville, on te montre du doigt, parce que t'as les cheveux comme ça, ou parce que tu t'habilles comme ça [...] dis leurs, dis leurs que ce sont des pervers ! Voici 3ème sexe..."
19.10.06 * 17.03.07 * 19.05.07 * 18.10.09 * 31.01.11
"Si demain, si demain dans ta rue, si demain dans ta rue, ou si demain dans ta ville, on te montre du doigt, parce que t'as les cheveux comme ça, ou parce que tu t'habilles comme ça [...] dis leurs, dis leurs que ce sont des pervers ! Voici 3ème sexe..."
19.10.06 * 17.03.07 * 19.05.07 * 18.10.09 * 31.01.11
merci beacoup 
ça fait plaisir
j'ai écrit ça à la va vite en revenant du concert, fallait que je sorte ce qui bouillonait en moi sinon j'allais imploser ; donc à l'heure d'aujourd'hui, je suis très insatisfaite de cette esquisse de texte.
Donc si vous voulez, je peux vous poster la version un peu 'améliorée' du texte que j'ai repris il y a 2 jours, si ça vous dit
C'est d'ailleurs la version que j'ai envoyée pour tenter d'être indo-reporter pour la prochaine date toulousaine *croise fort les doigts*
je suis passionnée d'écriture d'ailleurs depuis que je suis toute gamine. J'ai récemment ouvert un blog. Si ça vous dit d'aller y faire un tour et sutout de me dire vos avis, parce que mon but principal c'est de progresser dans mon style littéraire, donc les critiques bonnes ou mauvaises sont les bienvenues, il est clair - c'est pour ça que les personnes qui sont "fidèles" à un blog et qui y postent régulièrement des commentaires ne se rendent pas compte de l'aide qu'elle fournisse à son créateur -
http://dentelles.over-blog.net, la voici donc, ma boîte à rêve.
ça fait plaisirj'ai écrit ça à la va vite en revenant du concert, fallait que je sorte ce qui bouillonait en moi sinon j'allais imploser ; donc à l'heure d'aujourd'hui, je suis très insatisfaite de cette esquisse de texte.
Donc si vous voulez, je peux vous poster la version un peu 'améliorée' du texte que j'ai repris il y a 2 jours, si ça vous dit
C'est d'ailleurs la version que j'ai envoyée pour tenter d'être indo-reporter pour la prochaine date toulousaine *croise fort les doigts*je suis passionnée d'écriture d'ailleurs depuis que je suis toute gamine. J'ai récemment ouvert un blog. Si ça vous dit d'aller y faire un tour et sutout de me dire vos avis, parce que mon but principal c'est de progresser dans mon style littéraire, donc les critiques bonnes ou mauvaises sont les bienvenues, il est clair - c'est pour ça que les personnes qui sont "fidèles" à un blog et qui y postent régulièrement des commentaires ne se rendent pas compte de l'aide qu'elle fournisse à son créateur -
http://dentelles.over-blog.net, la voici donc, ma boîte à rêve.
Modifié en dernier par Charline le 31 oct. 2006 10:23, modifié 1 fois.
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I.kiss.around
- Messages : 221
- Enregistré le : 16 sept. 2006 22:51
- Localisation : Toulouse
Dans un premier temps j'accepterai volontier la version remaniée
Et dans le second, c'est vers ton blog que je me dirige. Je peux passer des soirées entière à lire et découvrir des blogs, et quand je m'attache au mots qui s'y trouvent, je peux y revenir (on me dit lectrice assidue lol), même si souvent je n'ose pas laisser de traces de mon passage^^
Et dans le second, c'est vers ton blog que je me dirige. Je peux passer des soirées entière à lire et découvrir des blogs, et quand je m'attache au mots qui s'y trouvent, je peux y revenir (on me dit lectrice assidue lol), même si souvent je n'ose pas laisser de traces de mon passage^^
Indo dans l'âme...
"Si demain, si demain dans ta rue, si demain dans ta rue, ou si demain dans ta ville, on te montre du doigt, parce que t'as les cheveux comme ça, ou parce que tu t'habilles comme ça [...] dis leurs, dis leurs que ce sont des pervers ! Voici 3ème sexe..."
19.10.06 * 17.03.07 * 19.05.07 * 18.10.09 * 31.01.11
"Si demain, si demain dans ta rue, si demain dans ta rue, ou si demain dans ta ville, on te montre du doigt, parce que t'as les cheveux comme ça, ou parce que tu t'habilles comme ça [...] dis leurs, dis leurs que ce sont des pervers ! Voici 3ème sexe..."
19.10.06 * 17.03.07 * 19.05.07 * 18.10.09 * 31.01.11
alors I.kiss.around, voici la version que j'ai un peu retravaillée récemment pour l'envoyer en candidature indo-reporter (fallait que ça "décrire" un tant soit peu le concert" j'ai donc du rajouter des petites phrases ça et là)
Indo un soir, Indo l'Histoire
Ce n'était pas un Rêve, pas un Eden, mais probablement un de ces 'Rien' aux R plus grands que les étoiles. Parce qu'il y a intrinsèquement des choses tellement inqualifiables qu'on souhaiterait mourir plutôt que de les dire, mourir et penser qu'enfin peut-être notre Silence pèse tous les mots du monde.
Enlève-moi.
Indo je ne sais trop pourquoi, je ne sais trop comment, mais Indo oui, ça je le Sais. Cœur de pierre, cœur d'artichaut, cœur de chimère, cœur de sang, cœur de poussière, qu'importe, un seul mot comptait cette nuit d’automne là : Cœur, un point c’est tout.
Ni June ni Alice, ni Alice ou June, juste Alice and June. Etrangement on s'est tous reconnus ce soir du 19 octobre 2006. 9000 paires d'yeux dans la ronde bleutée du Zénith. C'est définitivement vrai que la circularité est belle, et envoûtante comme celle de ce cadre doré omniprésent sur l’écran géant. Des petits oursons roses, des arcs en ciel de lumière, de l’herbe, des arbres et ce qu’il faut de douce perversion ; on a tous chassé nos peurs ce jour-là ; on s’y est roulé dans cette musique si spéciale, cette musique de fées jouée pourtant par ces hommes…ces Grands petits Hommes...
Sous Indochine, sur Indochine, avec Indochine…pour Indochine…dans Indochine…
On en a fait, des étincelles.
Le temps qui passe abîme les corps, les mémoires, mais il est impuissant face aux étoiles figées dans les pupilles de notre Ville Rose. Un firmament s’y est créé sous les douces empruntes d’un I, d’un N, d’un D et d’un O.
Et un et trois et quatre, au placard ! Une multiplication pour mémoire, ouh wah ouh wah ouh wah ohlala ! [...] 18000 miroirs, fusion d'âmes en caléidoscope : Nico j’ai vu Charline en toi, Charline j'ai vu la fille en toi, Monsieur j'ai vu Stef en vous...On était Uns, et puis c’est tout. Uns, beaux, beaux et uns, c'est un beau souvenir, un. Non ! Illusion, faute, rectification : des milliers de souvenirs, autant de souvenirs que de millions de paillettes temporelles comprises en une seconde.
On était sur une ligne tous ensemble, une ligne c'est infini, des points à perte de vue et de pensée...On était là, tous, des milliers, ensemble, suspendus. En Nous, on était Toi ou Moi, Lui ou encore Elle : un Rien dans un Tout.
Un sacré Tout.
Il y avait des voix qui chantaient, des mains qui hurlaient l'amour intérieur de leurs veines enflammées. Parce que la passion, la Passion...passionnée, passionnante...assassine en beauté. On a figé un sacré bout de Vie dans ce souvenir toulousain. On s'en moque, on est égoïste, on le vit bien. On le garde pour Nous ce bout de Vous, pour Nous ce bout de...Nous ?
Il y a des gens qui ont le Cœur comme des rivières et des chocolats mous. De dentelle le mien il est fait. Le nôtre quoi, en somme. L'Addition, garçon : Nico un crochet, le public son jumeau envolé, Indochine la vaporeuse laine : on l'a tous bien tissée notre bribe de conte de fées.
Dans nos mains, un peu de thé, un jardin, une colline.
Vous comprendrez.
Moi, mon Cœur, hier soir, Toulouse, Indo, vous l'avez brodé, voilà tout.
Indo, tu Vis, je Vis, Toulouse, on a tous Vécu.
Salement Vécu.
* Je crois que l'on respire et c'est Vous qu'on inspire *
Indo un soir, Indo l'Histoire
Ce n'était pas un Rêve, pas un Eden, mais probablement un de ces 'Rien' aux R plus grands que les étoiles. Parce qu'il y a intrinsèquement des choses tellement inqualifiables qu'on souhaiterait mourir plutôt que de les dire, mourir et penser qu'enfin peut-être notre Silence pèse tous les mots du monde.
Enlève-moi.
Indo je ne sais trop pourquoi, je ne sais trop comment, mais Indo oui, ça je le Sais. Cœur de pierre, cœur d'artichaut, cœur de chimère, cœur de sang, cœur de poussière, qu'importe, un seul mot comptait cette nuit d’automne là : Cœur, un point c’est tout.
Ni June ni Alice, ni Alice ou June, juste Alice and June. Etrangement on s'est tous reconnus ce soir du 19 octobre 2006. 9000 paires d'yeux dans la ronde bleutée du Zénith. C'est définitivement vrai que la circularité est belle, et envoûtante comme celle de ce cadre doré omniprésent sur l’écran géant. Des petits oursons roses, des arcs en ciel de lumière, de l’herbe, des arbres et ce qu’il faut de douce perversion ; on a tous chassé nos peurs ce jour-là ; on s’y est roulé dans cette musique si spéciale, cette musique de fées jouée pourtant par ces hommes…ces Grands petits Hommes...
Sous Indochine, sur Indochine, avec Indochine…pour Indochine…dans Indochine…
On en a fait, des étincelles.
Le temps qui passe abîme les corps, les mémoires, mais il est impuissant face aux étoiles figées dans les pupilles de notre Ville Rose. Un firmament s’y est créé sous les douces empruntes d’un I, d’un N, d’un D et d’un O.
Et un et trois et quatre, au placard ! Une multiplication pour mémoire, ouh wah ouh wah ouh wah ohlala ! [...] 18000 miroirs, fusion d'âmes en caléidoscope : Nico j’ai vu Charline en toi, Charline j'ai vu la fille en toi, Monsieur j'ai vu Stef en vous...On était Uns, et puis c’est tout. Uns, beaux, beaux et uns, c'est un beau souvenir, un. Non ! Illusion, faute, rectification : des milliers de souvenirs, autant de souvenirs que de millions de paillettes temporelles comprises en une seconde.
On était sur une ligne tous ensemble, une ligne c'est infini, des points à perte de vue et de pensée...On était là, tous, des milliers, ensemble, suspendus. En Nous, on était Toi ou Moi, Lui ou encore Elle : un Rien dans un Tout.
Un sacré Tout.
Il y avait des voix qui chantaient, des mains qui hurlaient l'amour intérieur de leurs veines enflammées. Parce que la passion, la Passion...passionnée, passionnante...assassine en beauté. On a figé un sacré bout de Vie dans ce souvenir toulousain. On s'en moque, on est égoïste, on le vit bien. On le garde pour Nous ce bout de Vous, pour Nous ce bout de...Nous ?
Il y a des gens qui ont le Cœur comme des rivières et des chocolats mous. De dentelle le mien il est fait. Le nôtre quoi, en somme. L'Addition, garçon : Nico un crochet, le public son jumeau envolé, Indochine la vaporeuse laine : on l'a tous bien tissée notre bribe de conte de fées.
Dans nos mains, un peu de thé, un jardin, une colline.
Vous comprendrez.
Moi, mon Cœur, hier soir, Toulouse, Indo, vous l'avez brodé, voilà tout.
Indo, tu Vis, je Vis, Toulouse, on a tous Vécu.
Salement Vécu.
* Je crois que l'on respire et c'est Vous qu'on inspire *
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I.kiss.around
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- Localisation : Toulouse
J'aimerai qu'il le lise, Nicola, ce que tu as écris. parce que c'est vraiment beau, et ça vient du coeur. Merci pour ce retour en arrière, cette plongée en Indochine...
Modifié en dernier par I.kiss.around le 31 oct. 2006 13:42, modifié 1 fois.
Indo dans l'âme...
"Si demain, si demain dans ta rue, si demain dans ta rue, ou si demain dans ta ville, on te montre du doigt, parce que t'as les cheveux comme ça, ou parce que tu t'habilles comme ça [...] dis leurs, dis leurs que ce sont des pervers ! Voici 3ème sexe..."
19.10.06 * 17.03.07 * 19.05.07 * 18.10.09 * 31.01.11
"Si demain, si demain dans ta rue, si demain dans ta rue, ou si demain dans ta ville, on te montre du doigt, parce que t'as les cheveux comme ça, ou parce que tu t'habilles comme ça [...] dis leurs, dis leurs que ce sont des pervers ! Voici 3ème sexe..."
19.10.06 * 17.03.07 * 19.05.07 * 18.10.09 * 31.01.11
merci beaucoup =]
moi aussi, tu sais, j'aimerais qu'il le lise...peut-être pas ce texte d'ailleurs, mais d'autres que j'ai écrits en écoutant Indo, et quelque part donc, en l'écoutant à lui, Nicola.
Mais un jour, peu-être...après tout, qui sait.
Et si par bonheur je suis un jour Indo-reporter, je lui réserve une grosse enveloppe avec mes textes mouarf ^^
moi aussi, tu sais, j'aimerais qu'il le lise...peut-être pas ce texte d'ailleurs, mais d'autres que j'ai écrits en écoutant Indo, et quelque part donc, en l'écoutant à lui, Nicola.
Mais un jour, peu-être...après tout, qui sait.
Et si par bonheur je suis un jour Indo-reporter, je lui réserve une grosse enveloppe avec mes textes mouarf ^^
Modifié en dernier par Charline le 31 oct. 2006 15:10, modifié 1 fois.
ffff... moi j'aimais beaucoup écrire et Indo m'inspirait des rêveries magnifiques mais insipides une fois couchées sur le papier... J'essaie de m'y remettre mais j'ai plus d'inspiration... J'ai l'impression que tout a déjà été raconté, et que tout ça, tout ce patacaisse d'émotions dû à Indo était impossible à "cracher". Mais toi, Charline, j'ai vraiment l'impression que tu y es arrivée... =)
"Je peux encore garder ton nom, je peux aussi dire que je l'aime."
La nuit, je suis Buffy Summers.
La nuit, je suis Buffy Summers.