*Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
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Modifié en dernier par *Norma* le 02 janv. 2012 11:39, modifié 1 fois.
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
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Modifié en dernier par *Norma* le 02 janv. 2012 11:39, modifié 2 fois.
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Trop beau...
Ca me donne envie de pleurer (je suis hypersensible aux choses tristes, c'est pour ça)
Et il y a qu'une seule faute (c'est une faute de frappe en plus) : Au nom de l’air et du file qui me tient.
Ca me donne envie de pleurer (je suis hypersensible aux choses tristes, c'est pour ça)
Et il y a qu'une seule faute (c'est une faute de frappe en plus) : Au nom de l’air et du file qui me tient.
"Nous serions mille, nous serions deux, le cœur battant, le cœur glorieux"
Walégène bistoufly !
#TeamQueen
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
ah oui j'ai effectivement fait une faute merci beaucoup, ça me touche
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Norma tes écrits sont divins !!
Moi aussi j'écris.....quelquefois quand les idées me viennent comme ça tout d'un coup
J'écris, certes mais pas aussi bien que toi
Je n'ai pas encore tout lu tes textes mais en tout cas BRAVO !!!
Moi aussi j'écris.....quelquefois quand les idées me viennent comme ça tout d'un coup
J'écris, certes mais pas aussi bien que toi
Je n'ai pas encore tout lu tes textes mais en tout cas BRAVO !!!
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Merci beaucoup c'est Indo qui a tout le mérite moi je ne fais que m'inspirer d'eux
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
c'est tres beau, bravo
Epinal mars 1988,Nancy, Galaxie I et II, Luxembourg le 11 septembre
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
merci beaucoup
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Nicola doit être fier de toi !
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
c'est pas sûr ça, surtout si ça dénature les vraies "versions", rien de comparable les textes originaux sont de loin les meilleurs tout l'univers Indo est juste magique mais merci
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
oui c'est moi, merci, c'était un bon jour, une bonne lumière c'est tout
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Je ne pense pas si tu habitais près de chez moi j'aimerais bien qu'on soit copines ( heu copine c'est tout hein !!!)
Modifié en dernier par Savourelerouge le 14 sept. 2014 13:16, modifié 1 fois.
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Poème de Sylvia Plath : " Lettre d ' amour"
Pas facile de formuler ce que tu as changé pour moi.
Si je suis en vie maintenant, j'étais alors morte,
Bien que, comme une pierre, sans que cela ne m'inquiète,
Et je restais là sans bouger selon mon habitude.
Tu ne m'as pas simplement une peu poussée du pied, non-
Ni même laissé régler mon petit oeil nu
A nouveau vers le ciel, sans espoir, évidemment,
De pouvoir appréhender le bleu, ou les étoiles.
Ce n'était pas çà. Je dormais, disons : un serpent
Masqué parmi les roches noires telle une roche noire
Se trouvant au milieu du hiatus blanc de l'hiver -
Tout comme mes voisines, ne prenant aucun plaisir
A ce million de joues parfaitement ciselées
Qui se posaient à tout moment afin d'attendrir
Ma joue de basalte. Et elles se transformaient en larmes,
Anges versant des pleurs sur des natures sans relief,
Mais je n'étais pas convaincue. Ces larmes gelaient.
Chaque tête morte avait une visière de glace.
Et je continuais de dormir, repliée sur moi-même.
La première chose que j'ai vue n'était que de l'air
Et ces gouttes prisonnières qui montaient en rosée,
Limpides comme des esprits. Il y avait alentour
Beaucoup de pierres compactes et sans aucune expression.
Je ne savais pas du tout quoi penser de cela.
Je brillais, recouverte d'écailles de mica,
Me déroulais pour me déverser tel un fluide
Parmi les pattes d'oiseaux et les tiges des plantes.
Je ne m’y suis pas trompée. Je t'ai reconnu aussitôt.
L'arbre et la pierre scintillaient, ils n'avaient plus d'ombres.
Je me suis déployée, étincelante comme du verre.
J'ai commencé de bourgeonner tel un rameau de mars :
Un bras et puis une jambe, un bras et encore une jambe.
De la pierre au nuage, ainsi je me suis élevée.
Maintenant je ressemble à une sorte de dieu
Je flotte à travers l'air, mon âme pour vêtement,
Aussi pure qu'un pain de glace. C'est un don.
"Lettre d'amour" de Sylvia Plath
in "Arbres d'hiver" précédé de "la Traversée"
Traduction de Françoise Morvan et Valérie Rouzeau
Poésie Gallimard- 1999
Pas facile de formuler ce que tu as changé pour moi.
Si je suis en vie maintenant, j'étais alors morte,
Bien que, comme une pierre, sans que cela ne m'inquiète,
Et je restais là sans bouger selon mon habitude.
Tu ne m'as pas simplement une peu poussée du pied, non-
Ni même laissé régler mon petit oeil nu
A nouveau vers le ciel, sans espoir, évidemment,
De pouvoir appréhender le bleu, ou les étoiles.
Ce n'était pas çà. Je dormais, disons : un serpent
Masqué parmi les roches noires telle une roche noire
Se trouvant au milieu du hiatus blanc de l'hiver -
Tout comme mes voisines, ne prenant aucun plaisir
A ce million de joues parfaitement ciselées
Qui se posaient à tout moment afin d'attendrir
Ma joue de basalte. Et elles se transformaient en larmes,
Anges versant des pleurs sur des natures sans relief,
Mais je n'étais pas convaincue. Ces larmes gelaient.
Chaque tête morte avait une visière de glace.
Et je continuais de dormir, repliée sur moi-même.
La première chose que j'ai vue n'était que de l'air
Et ces gouttes prisonnières qui montaient en rosée,
Limpides comme des esprits. Il y avait alentour
Beaucoup de pierres compactes et sans aucune expression.
Je ne savais pas du tout quoi penser de cela.
Je brillais, recouverte d'écailles de mica,
Me déroulais pour me déverser tel un fluide
Parmi les pattes d'oiseaux et les tiges des plantes.
Je ne m’y suis pas trompée. Je t'ai reconnu aussitôt.
L'arbre et la pierre scintillaient, ils n'avaient plus d'ombres.
Je me suis déployée, étincelante comme du verre.
J'ai commencé de bourgeonner tel un rameau de mars :
Un bras et puis une jambe, un bras et encore une jambe.
De la pierre au nuage, ainsi je me suis élevée.
Maintenant je ressemble à une sorte de dieu
Je flotte à travers l'air, mon âme pour vêtement,
Aussi pure qu'un pain de glace. C'est un don.
"Lettre d'amour" de Sylvia Plath
in "Arbres d'hiver" précédé de "la Traversée"
Traduction de Françoise Morvan et Valérie Rouzeau
Poésie Gallimard- 1999
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
c'est magnifique quel énorme talent, sublimement traduit c'est un grand honneur que de voir ces lignes s'inviter en mon humble topic, j'suis pas si douée hélas
j'écris mais pour l'instant j'ai un peu de mal à être satisfaite, donc je ne mets pas mes textes ici voilà mais ça va venir
j'écris mais pour l'instant j'ai un peu de mal à être satisfaite, donc je ne mets pas mes textes ici voilà mais ça va venir
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Nicola merci d'avoir publié une photo de Sylvia Plath sur ton twitter :
@nicolasirkis
nicola sirkis Kissing this girl http://lockerz.com/s/148243877
et d'autres photos (sa petite tombe ) Les artistes meurent trop tôt !
http://www.eng.fju.edu.tw/English_Liter ... photo.html
@nicolasirkis
nicola sirkis Kissing this girl http://lockerz.com/s/148243877
et d'autres photos (sa petite tombe ) Les artistes meurent trop tôt !
http://www.eng.fju.edu.tw/English_Liter ... photo.html
Modifié en dernier par Savourelerouge le 21 oct. 2011 08:59, modifié 1 fois.
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
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Modifié en dernier par *Norma* le 02 janv. 2012 11:40, modifié 2 fois.
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
tant pis pour le temps, merci de nous faire partager tes mots
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
ça me fait plaisir de partager, il y a beaucoup de gens très talentueux sur ce forum, je me sens tout petite à côté d'eux
merci
merci
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
(lesquels mais ...chut... ) MP please
Je veux te revoir
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
J'adore tes commentaires sur ton twitter
Je veux te revoir
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
[quote="Indo_sirkis_boy"]A l'image qui s'anime dans la lecture de cet écrit, mon regard s'est mouillé, puis, s'est enflammé, des étincelles, des petits bouts de vies, leurs fins surtout, ou l'éveil d'un espoir.
Emerveillé, touchant par ses mots, "Norma" et sa plume d'Ange, comme si l'un était l'âme de l'autre.
Il y a des gens, comme ça, qui ne sont que des plumes trempées dans leur coeur, ils le sont et le font merveilleusement. Tremblant serais-je après cette invitation dans un hier qui nous quitte jamais ; troublant, de l'émotion comme des tâches en couleurs sur des murs bien trop sombres, ton ombre. J'attends l'existence, en attendant je vis l'enfer.
Oui, l'espoir...
Tu repeinds la vie de ton empreinte angélique....
Pourquoi tu ne réécris plus içi, c'est magnifique comme Norma ?
Emerveillé, touchant par ses mots, "Norma" et sa plume d'Ange, comme si l'un était l'âme de l'autre.
Il y a des gens, comme ça, qui ne sont que des plumes trempées dans leur coeur, ils le sont et le font merveilleusement. Tremblant serais-je après cette invitation dans un hier qui nous quitte jamais ; troublant, de l'émotion comme des tâches en couleurs sur des murs bien trop sombres, ton ombre. J'attends l'existence, en attendant je vis l'enfer.
Oui, l'espoir...
Tu repeinds la vie de ton empreinte angélique....
Pourquoi tu ne réécris plus içi, c'est magnifique comme Norma ?
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
...
Modifié en dernier par *Norma* le 02 janv. 2012 11:40, modifié 3 fois.
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Merci
voici mon blog pas extra mais histoire de diversifier mes modestes écrits http://lisenormanjean.blog4ever.com/blo ... 49611.html "dans tous les articles"
voici mon blog pas extra mais histoire de diversifier mes modestes écrits http://lisenormanjean.blog4ever.com/blo ... 49611.html "dans tous les articles"
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Je viens de le regarder (j'allais même le poster )
c'est vraiment très agréable à lire Merci
c'est vraiment très agréable à lire Merci
Modifié en dernier par Savourelerouge le 05 déc. 2011 20:47, modifié 1 fois.
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
merci beaucoup pour le compliment, ce n'est pas parfait mais je ne peux que m'améliorer
ça fait un peu drole de voir sa tête ici mais bon je m'habitue ça met un visage sur un pseudo au moins
ça fait un peu drole de voir sa tête ici mais bon je m'habitue ça met un visage sur un pseudo au moins
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Mais t'as pas les yeux bleus ? on dirait pourtant !
J'aime beaucoup les yeux bleus :
http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/02 ... commun.php
J'aime beaucoup les yeux bleus :
http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/02 ... commun.php
Je veux te revoir
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
non du tout, ça aurait pu tout le monde chez moi a les yeux bleus sauf moi, voilà
Edité le 10/12 je poste régulièrement des textes que je ne peux mettre ici sur mon mon blog merci.
Edité le 10/12 je poste régulièrement des textes que je ne peux mettre ici sur mon mon blog merci.
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
sur mon blog ...
Modifié en dernier par *Norma* le 02 janv. 2012 11:41, modifié 2 fois.
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
*j'suis un boulet j'édite mais j'oublie de répondre *Savourelerouge a écrit : trop beau !!!
merci beaucoup je ne me rends pas bien compte de ce que j'écris, je crois que ce n'est pas exceptionel mais je me fais plaisir
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
voilà ça fait un peu fouilli mais j'ai souhaité regrouper tous mes écrits afin d'en faire une histoire entière, il y aura pas mal de références d'Indochine puisque c'est mon inspiration
Je ne pouvais laisser les textes "dispersés" pour la continuité donc tout sera lisible comme un "pseudo" livre avec des choses jamais mises ici, encore une fois pardon pour tout ce fouilli, mais c'est à suivre ... Merci.
Sur les 2 premières pages j'ai remis des textes, je continuerai plus tard
Je ne pouvais laisser les textes "dispersés" pour la continuité donc tout sera lisible comme un "pseudo" livre avec des choses jamais mises ici, encore une fois pardon pour tout ce fouilli, mais c'est à suivre ... Merci.
Sur les 2 premières pages j'ai remis des textes, je continuerai plus tard
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
juste pour dire que j'ai modifié les 2 premières pages pour ne pas laisser de vide et j'éditerai par la suite pour remplacer ce que j'ai voulu mettre de côté pour faire un récit complet, j'ignore ce que cela va donner, c'est juste pour essayer et voir si j'y arrive
C'est sans ambition mais juste pour moi même et savoir si je peux faire quelque chose d'intéressant
J'y pensais depuis longtemps donc je le fais
C'est sans ambition mais juste pour moi même et savoir si je peux faire quelque chose d'intéressant
J'y pensais depuis longtemps donc je le fais
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
La Nuit des Fées
Pour que tu gardes en toi, une clef attachée, nos souvenirs d’un soir,
d’une pleine lune en été, le matin si tu lies les ombres à mes pensée, pour moi
en silence, d’une fée embarrassée…
Que tu gardes en toi
Mais c’est le soir en été, que je pense d’abord à toi, une clef accrochée, entre les mains,
j’avais oublié, mais un jour la peur sur mon chemin, le désespoir de la marche du temps,
d’un monde qui se retournera sur toi
et inonde la vérité…
Que les mots manqueront à ma place, dans le passé, dans l’ombre du passé,
les vives couleurs, d’un ciel argenté, mais les mains pour serrer, il tombe sur moi à côté.
Aimer un esprit de la nuit n’est pas la vie, si tu me sauves et lie les ombres en moi,
la tempête aussi se jette sur toi…et qui sera en vrai ?
Sur la terre, le désespoir marche sur le temps, juste un endroit pour te voir,
te regarder sans y penser, faire face au tonnerre me fait pleurer, mais les mots
frappent mon existence, d’une clef cachée oubliée, les pensées gardées
en silence…
Ouvre les réponses, à toutes les pensées, quand les mains se serrent sur la vie enfin,
sauve ma vie et lies les mains, oublie le jour ailleurs, tu coules dans le ciel, l’ombre du passé
sers les mains oublie le jour, les pensées gardées, que j’envie si le matin tu lies les ombres
à mes mains.
LNJ
il faut du souffle :mrgreen:
Pour que tu gardes en toi, une clef attachée, nos souvenirs d’un soir,
d’une pleine lune en été, le matin si tu lies les ombres à mes pensée, pour moi
en silence, d’une fée embarrassée…
Que tu gardes en toi
Mais c’est le soir en été, que je pense d’abord à toi, une clef accrochée, entre les mains,
j’avais oublié, mais un jour la peur sur mon chemin, le désespoir de la marche du temps,
d’un monde qui se retournera sur toi
et inonde la vérité…
Que les mots manqueront à ma place, dans le passé, dans l’ombre du passé,
les vives couleurs, d’un ciel argenté, mais les mains pour serrer, il tombe sur moi à côté.
Aimer un esprit de la nuit n’est pas la vie, si tu me sauves et lie les ombres en moi,
la tempête aussi se jette sur toi…et qui sera en vrai ?
Sur la terre, le désespoir marche sur le temps, juste un endroit pour te voir,
te regarder sans y penser, faire face au tonnerre me fait pleurer, mais les mots
frappent mon existence, d’une clef cachée oubliée, les pensées gardées
en silence…
Ouvre les réponses, à toutes les pensées, quand les mains se serrent sur la vie enfin,
sauve ma vie et lies les mains, oublie le jour ailleurs, tu coules dans le ciel, l’ombre du passé
sers les mains oublie le jour, les pensées gardées, que j’envie si le matin tu lies les ombres
à mes mains.
LNJ
il faut du souffle :mrgreen:
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
merci, en fait j'ai eu du mal à me concentrer (problème de voisins ) maintenant je ne le trouve pas top trop de virgules (ce mot me fait rire)Savourelerouge a écrit :C'est super beau
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Norma je trouve tes textes très beaux ! J'écris aussi mais j'ai du mal en ce moment, j'aimerais bien savoir écrire comme ça, bravo
17/04/2010
02/02/2012
27/02/2013
02/02/2012
27/02/2013
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
merci (j'apprends) tous les jours d'une certaine manière, puis je me trouve un peu, je note tout comme Nico puis un jour j'ai l'idée du texte, ou bien un truc à décrire où je peux placer des bouts qui me sont venus un jour, c'est tout simple en fait parfois ça donne quelque chose parfois ça donne rienjune320 a écrit :Norma je trouve tes textes très beaux ! J'écris aussi mais j'ai du mal en ce moment, j'aimerais bien savoir écrire comme ça, bravo
ça vient comme ça vient ça peut être long sans idées je sais ça m'arrive aussi ou bien ça vient quand j'ai pas le temps d'écrire .
merci beaucoup au plaisir de te lire
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Bye Bye Valentine
Quand je me sens si seule un matin dans le silence, ma mémoire qui s’agitait
pour une souffrance, pour un jamais.
Soudain j’ai pensé qu’un rêve changerait ma vie, pour tant d’années,
si j’étais là sous la pluie pour être ici, être libre d’exister
Se rappeler la personne qui a disparu, par trop de vos regards jetés, par la porte
du temps qui nous fane, il s’est enfuit, tu me vois dans l’ombre quand je souris
pour creuser les pensées, sous la pluie.
Les yeux qui traversent la vie à attendre le moment, ou alors des voix qui parlent dans le temps soudain j’ai pensé qu’un désire arracherait le vide, un matin le silence à jamais,
je me rappelle d’une personne qui s'est cachée dans le froid, j’étais là à jamais, sans un bruit
pourtant c’est si dure de savoir, de voir les yeux traverser la nuit, quand les regards ouvrent les portes du temps, de ce drame.
Tu me vois dans l’ombre, et le froid, pour creuser les pensées à attendre le temps où les portes se ferment, un temps bien trop triste à garder.
Un instant pour rester simplement là, pour respirer dans les jours quand ne raisonnent que les nuages, comme dans les fleurs ou le rêve qui se fond dans l’âme du matin.
Je crois qu’être libre c’est se rappeler, ôter plus que les mots, que je garde dans mes yeux et ma peur d’un vêtement, prendre une route dans le cœur, sans s’arrêter, même si je sais, que je cherche une étoile, comme je cherche la vie et le temps qui s’étiole dans l’eau, ils s’en iront, la destiné et là et se retrouver.
Il est temps à présent de se donner aux abeilles pour réfléchir, et apprendre comment il faut faire pour rester libre sans les autres, de combien de temps j’ai besoin pour sortir du chemin,
même si je crois que les autres et le temps passent comme les saisons.
Aller vers un jour, de l’autre côté, tu sens le brouillard tomber sur toi, qu’en silence tu glisseras pour embrasser la glace que tu briseras.
Même si j’étais là sous la pluie pour être ici, respire et parle des mots, mais surtout ne parles pas du temps et ni des autres qui s’en iront.
LNJ
Quand je me sens si seule un matin dans le silence, ma mémoire qui s’agitait
pour une souffrance, pour un jamais.
Soudain j’ai pensé qu’un rêve changerait ma vie, pour tant d’années,
si j’étais là sous la pluie pour être ici, être libre d’exister
Se rappeler la personne qui a disparu, par trop de vos regards jetés, par la porte
du temps qui nous fane, il s’est enfuit, tu me vois dans l’ombre quand je souris
pour creuser les pensées, sous la pluie.
Les yeux qui traversent la vie à attendre le moment, ou alors des voix qui parlent dans le temps soudain j’ai pensé qu’un désire arracherait le vide, un matin le silence à jamais,
je me rappelle d’une personne qui s'est cachée dans le froid, j’étais là à jamais, sans un bruit
pourtant c’est si dure de savoir, de voir les yeux traverser la nuit, quand les regards ouvrent les portes du temps, de ce drame.
Tu me vois dans l’ombre, et le froid, pour creuser les pensées à attendre le temps où les portes se ferment, un temps bien trop triste à garder.
Un instant pour rester simplement là, pour respirer dans les jours quand ne raisonnent que les nuages, comme dans les fleurs ou le rêve qui se fond dans l’âme du matin.
Je crois qu’être libre c’est se rappeler, ôter plus que les mots, que je garde dans mes yeux et ma peur d’un vêtement, prendre une route dans le cœur, sans s’arrêter, même si je sais, que je cherche une étoile, comme je cherche la vie et le temps qui s’étiole dans l’eau, ils s’en iront, la destiné et là et se retrouver.
Il est temps à présent de se donner aux abeilles pour réfléchir, et apprendre comment il faut faire pour rester libre sans les autres, de combien de temps j’ai besoin pour sortir du chemin,
même si je crois que les autres et le temps passent comme les saisons.
Aller vers un jour, de l’autre côté, tu sens le brouillard tomber sur toi, qu’en silence tu glisseras pour embrasser la glace que tu briseras.
Même si j’étais là sous la pluie pour être ici, respire et parle des mots, mais surtout ne parles pas du temps et ni des autres qui s’en iront.
LNJ
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
merci beaucoupSavourelerouge a écrit :Comme toujours
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
mille pardon pour ce titre et surtout pour ce texte qui est moins bien mais je voulais le mettre
Mes regrets
Tu restes pour ne serrer dans tes bras, que des fins reflets,
la vie n’est gâchée que par l’absence et les regrets.
Ton visage, traversé par une flèche argentée
lâchée dans le cœur.
Elle s’envole vers toi, vers toi sur le chemin,
dans le silence n’est qu’un sourire.
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre, on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera
Je mords le temps en secret, dans mes rêves, d’un ange,
d’un ange que je croiserai et qui s’agitait un matin
sous la pluie je tl’attendai,
si je demeure ici , c’est dans les yeux et quand les portes du temps
s’ouvriront
Et tu me vois dans l’ombre à creuser les pensées
Pour un instant à rester dans les yeux,
simplement pour respirer comme on croit la vérité
que tu m’as montré sous Les ailes et les secrets brûlés,
C’est dans cette vie, c’est ici que tu ne m’as pas aimé,
de l’autre côté , que j’ai mal appris, je m’élance vers toi,
j’étais le vide, dans la pluie j’y tenais, pour moi l’avez fait
Un instant pour rester là, simplement à respirer
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre et je crois qu'on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera.
Je mords le temps en secret, dans mes rêves, d’un ange
d’un ange que je croiserai et qui s’agitait un matin
sous la pluie.
Je l’attendais, mais si je demeure ici , c’est dans les yeux et
quand les portes du temps s’ouvriront.
Et tu me vois dans l’ombre à creuser les pensées
Pour un instant à rester pour respirer,
simplement pour respirer comme on croit la vérité
que tu m’as montré sous Les ailes et les secrets brûlés.
Si j’étais importante pour toi mais le soleil brûle mes mains;
sans le savoir simplement par le geste qui restera,
de mon esprit coulent les cœurs affaiblis j’étais le jour
Tu m’as montré la vie est bien , et l’amour restera!
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre et on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera
je mords le temps en secret, dans mes rêves, d’un ange
d’un ange que je croiserai et qui s’agitait un matin
sous la pluie.
Je l’attendais, mais si je demeure ici , c’est dans les yeux et
quand s’ouvriront les portes du temps.
Et tu me vois dans l’ombre à creuser les pensées,
pour un instant à rester pour respirer,
simplement pour respirer comme on croit la vérité
que tu m’as montré sous Les ailes et les secrets brûlés,
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre et on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera
et on saura…
LNJ
je ne vois plus rien à cette heure sorry
Mes regrets
Tu restes pour ne serrer dans tes bras, que des fins reflets,
la vie n’est gâchée que par l’absence et les regrets.
Ton visage, traversé par une flèche argentée
lâchée dans le cœur.
Elle s’envole vers toi, vers toi sur le chemin,
dans le silence n’est qu’un sourire.
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre, on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera
Je mords le temps en secret, dans mes rêves, d’un ange,
d’un ange que je croiserai et qui s’agitait un matin
sous la pluie je tl’attendai,
si je demeure ici , c’est dans les yeux et quand les portes du temps
s’ouvriront
Et tu me vois dans l’ombre à creuser les pensées
Pour un instant à rester dans les yeux,
simplement pour respirer comme on croit la vérité
que tu m’as montré sous Les ailes et les secrets brûlés,
C’est dans cette vie, c’est ici que tu ne m’as pas aimé,
de l’autre côté , que j’ai mal appris, je m’élance vers toi,
j’étais le vide, dans la pluie j’y tenais, pour moi l’avez fait
Un instant pour rester là, simplement à respirer
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre et je crois qu'on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera.
Je mords le temps en secret, dans mes rêves, d’un ange
d’un ange que je croiserai et qui s’agitait un matin
sous la pluie.
Je l’attendais, mais si je demeure ici , c’est dans les yeux et
quand les portes du temps s’ouvriront.
Et tu me vois dans l’ombre à creuser les pensées
Pour un instant à rester pour respirer,
simplement pour respirer comme on croit la vérité
que tu m’as montré sous Les ailes et les secrets brûlés.
Si j’étais importante pour toi mais le soleil brûle mes mains;
sans le savoir simplement par le geste qui restera,
de mon esprit coulent les cœurs affaiblis j’étais le jour
Tu m’as montré la vie est bien , et l’amour restera!
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre et on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera
je mords le temps en secret, dans mes rêves, d’un ange
d’un ange que je croiserai et qui s’agitait un matin
sous la pluie.
Je l’attendais, mais si je demeure ici , c’est dans les yeux et
quand s’ouvriront les portes du temps.
Et tu me vois dans l’ombre à creuser les pensées,
pour un instant à rester pour respirer,
simplement pour respirer comme on croit la vérité
que tu m’as montré sous Les ailes et les secrets brûlés,
et sans réponses et à des questions…
c’est elle, et toi que je vois, je crois qu’on restera
et sans attendre et on saura…
c’est elle, et moi que je vois, je crois qu’on restera
et on saura…
LNJ
je ne vois plus rien à cette heure sorry
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Les portes du soir
Dehors tu es le temps qui s’arrache à moi
quand souffle le poison des jours.
Si le corps qui bouge, que tu crois en moi,
sous les ailes et les secrets brûlés,
je tremble du temps qui fait la vie.
Imposant les yeux dans mes rêves, d’un ange,
d’un ange en bas, du bout des bras de ce…
« quand tu verras… », des océans, qui se vident ici.
Il tombera, quand s’ouvriront les portes du temps,
du vide et des mots, que j’espère de l’ enfant qui viendra.
La vie qu’il nous cache, comme on croit en lui, seulement à la réalité,
que les rêves se fondent, enfant, dans la nuit que simplement sans le savoir,
que pour être en vie, même un court instant sous le ciel de la nuit,
et j’ai mal appris, à rester là, en vie, alors qu’il s’endors si près de moi.
Imposant comme le temps, simplement pour respirer,
mon aile seule me tient, le corps dans ce ciel, qui cassera,
je mords le temps en secret, comme on croit un rêve en vrai,
le soleil brûle les mains, mes rêves c’est savoir quand il respire.
Je l’attendais, la souffrance dans les pensées, quand j’ai enfin compris,
les cœurs coulent dans l’ombre, où dorment les sentiments,
qui s’agitaient, sous la pluie par le geste qui sera pour un instant,
alors je m’élance vers toi, dans le calme d’un matin.
Le jour où tu tomberas tu te souviendras de moi, sans savoir me parler,
tu vois qui porte le sourire en secret, la féerie des baisers engourdis,
si tu grandis dans l’eau, quand je respire, qui tombe d’un toit, ce ne sera pas toi,
ce qui frappe à ma porte est noir comme le silence, tu me vois respirer
je serais peut-être un toit si ton ombre.
LNJ
Dehors tu es le temps qui s’arrache à moi
quand souffle le poison des jours.
Si le corps qui bouge, que tu crois en moi,
sous les ailes et les secrets brûlés,
je tremble du temps qui fait la vie.
Imposant les yeux dans mes rêves, d’un ange,
d’un ange en bas, du bout des bras de ce…
« quand tu verras… », des océans, qui se vident ici.
Il tombera, quand s’ouvriront les portes du temps,
du vide et des mots, que j’espère de l’ enfant qui viendra.
La vie qu’il nous cache, comme on croit en lui, seulement à la réalité,
que les rêves se fondent, enfant, dans la nuit que simplement sans le savoir,
que pour être en vie, même un court instant sous le ciel de la nuit,
et j’ai mal appris, à rester là, en vie, alors qu’il s’endors si près de moi.
Imposant comme le temps, simplement pour respirer,
mon aile seule me tient, le corps dans ce ciel, qui cassera,
je mords le temps en secret, comme on croit un rêve en vrai,
le soleil brûle les mains, mes rêves c’est savoir quand il respire.
Je l’attendais, la souffrance dans les pensées, quand j’ai enfin compris,
les cœurs coulent dans l’ombre, où dorment les sentiments,
qui s’agitaient, sous la pluie par le geste qui sera pour un instant,
alors je m’élance vers toi, dans le calme d’un matin.
Le jour où tu tomberas tu te souviendras de moi, sans savoir me parler,
tu vois qui porte le sourire en secret, la féerie des baisers engourdis,
si tu grandis dans l’eau, quand je respire, qui tombe d’un toit, ce ne sera pas toi,
ce qui frappe à ma porte est noir comme le silence, tu me vois respirer
je serais peut-être un toit si ton ombre.
LNJ
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
j'suis désolée j'arrête pas d'écrire, après j'éditerai *tout est confus chez moi*
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Je sens les soupirs qui partent, de mon imaginaire qui me dévore.
Le temps qui reste là engourdi de peine et de terre jetée,
comment je pourrais faire pour serrer les pensées du passé ?
La fin d’un rêve qui s’envole pour être juste passagère lors
d’un voyage hors de vous, je traverserai les ombres et la nuit,
elle qui me déshabille dans sa tristesse infinie.
Pour partir vers les terres noires alors que j’ai peur de l’existence qui s’en va,
C’est sur la vie de braises rougies qu’elle m’a choisi, de ma passion et le poison.
Sur le chemin tu trouves le paysage d’une lune qui a endormie le noir
dans mes yeux.
Je sens les soupirs perdus sur une île à n’attendre que vous.
La nuit m’effraie aujourd’hui où j’ai vu s’endormir les chevaliers
d’un temps oublié, juste pour les regarder.
Un monde sans rien, je rêve d’une nuit de glace qui serait bleue
comme la vérité, j’ai tout fait pour venir ici.
Un ange qui s’élance du haut d’un mur aigri de pluie qu’il vous faudra porter,
par les peurs de l’esprit et mourir lentement en dansant sous la pluie.
Les corps qui s’endormiront en silence sous le temps que je chasse,
pour essayer d’imaginer où s’en vont les eaux mortes en moi à ma place.
Quand elles tomberont enfin, à contre sens à mille bornes de là.
Je sens vivre l’ombre parfois sans être sûr de savoir comment revenir
dans ce rêve étrange, aux nuées de braises du temps qui me restera,
d’un désire qui dure et qui m’arracha du vide quelques fois,
pour ce que je sens en moi je me retournerai contre le ciel.
Des mains oubliées pour une dernière fois, mes cheveux continuaient,
si de nos rêves explosés qui ont quelque chose du nouveau,
pour ce que je sens quand je m’élève pour oublier.
Je sais que l’été s’en ira, pendre les cœurs pour m’attacher en arrière,
d’un chat qui meurt dans cette vie où je marchais pour partir du néant,
tu verras.
LNJ
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Je sens les soupirs qui partent, de mon imaginaire qui me dévore.
Le temps qui reste là engourdi de peine et de terre jetée,
comment je pourrais faire pour serrer les pensées du passé ?
La fin d’un rêve qui s’envole pour être juste passagère lors
d’un voyage hors de vous, je traverserai les ombres et la nuit,
elle qui me déshabille dans sa tristesse infinie.
Pour partir vers les terres noires alors que j’ai peur de l’existence qui s’en va,
C’est sur la vie de braises rougies qu’elle m’a choisi, de ma passion et le poison.
Sur le chemin tu trouves le paysage d’une lune qui a endormie le noir
dans mes yeux.
Je sens les soupirs perdus sur une île à n’attendre que vous.
La nuit m’effraie aujourd’hui où j’ai vu s’endormir les chevaliers
d’un temps oublié, juste pour les regarder.
Un monde sans rien, je rêve d’une nuit de glace qui serait bleue
comme la vérité, j’ai tout fait pour venir ici.
Un ange qui s’élance du haut d’un mur aigri de pluie qu’il vous faudra porter,
par les peurs de l’esprit et mourir lentement en dansant sous la pluie.
Les corps qui s’endormiront en silence sous le temps que je chasse,
pour essayer d’imaginer où s’en vont les eaux mortes en moi à ma place.
Quand elles tomberont enfin, à contre sens à mille bornes de là.
Je sens vivre l’ombre parfois sans être sûr de savoir comment revenir
dans ce rêve étrange, aux nuées de braises du temps qui me restera,
d’un désire qui dure et qui m’arracha du vide quelques fois,
pour ce que je sens en moi je me retournerai contre le ciel.
Des mains oubliées pour une dernière fois, mes cheveux continuaient,
si de nos rêves explosés qui ont quelque chose du nouveau,
pour ce que je sens quand je m’élève pour oublier.
Je sais que l’été s’en ira, pendre les cœurs pour m’attacher en arrière,
d’un chat qui meurt dans cette vie où je marchais pour partir du néant,
tu verras.
LNJ
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Un ange à ma table (un esprit)
Je vis dans un endroit où se croisent les regards sans se voir, les autres ici dont dans la lumière nous berce sous des réverbères, ici les rêves soufflent dans la nuit.
Un immeuble trop grand pour respirer, un grand mur qui transpire sous la pluie dans l’acier et le béton, caressé par les bruits de la rue.
De chez moi je ne regarde pas en bas, je sais que quelque chose arrivera, de ces gens qui passent, vont et viennent, la tête dans le volant, le nez dans les pensées.
Pourtant cette fois, j’ai regardé, je vu, un quad qui passe trop vite, il double une camionnette blanche droit devant, en se rabattant l’homme au casque arrive vite, bien trop vite, il perd le contrôle, se met à chasser, de travers il est heurté violemment, comme sa monture il est projeté contre le bas de l’immeuble, l’homme est pulvérisé, l’engin atomisé, les gens courent dans la rue en panique ne sachant que faire appelant les secours qui finissent par arriver vite, j’ai assisté à la scène.
Je suis en état de choc, hagarde j’ai vu la vie partout en mille morceaux, le sang si haut, je vois du sang partout, sur mes volets, sur le sol de ma cuisine…
Un enfant de 5 ou 6 ans vient et frappe à ma porte, je lui ouvre je ne le connais pas, mais je dois le garder il est tout seul, je ne peux le laisser ainsi.
Il me demande pour regarder la télévision, je l’installe dans une pièce où on ne voit pas la rue, je lui demande si il n’a rien vu en venant, il me dit « non, je peux regarder la télévision ? » je lui fis signe de la tête en acquiesçant.
Les heures passants et personne pour venir chercher ce petit garçon, tout est redevenu calme dans la rue et toujours tout ce sang qui me tétanise, des amis viennent chez moi me chercher et toujours personne pour reprendre l’enfant.
On doit sortir alors si j’amène celui-ci avec nous et prenant soin d’éviter le lieu de l’accident ? puis me vient l’idée que ce petit garçon était peut-être le fils de l’homme sur le quad, ce père qui de hâtait peut-être pour le rejoindre, que c’était horrible cette idée, cette tristesse et tout ce fracas, cette fin, cette peine insoutenable pour un cœur si jeune, une culpabilité sans nom, mais je pense beaucoup trop, c’est inimaginable.
J’étais sans comprendre et puis voilà quand les anges passent, ils brisent les vitres inondent les vies de leur sang perdu dans l’infini.
Le temps s’est comme arrêté, le détail qui me glace, comme le sang que je vois sur la table devant lui quand il regarde bouger les images il attendait et j’ai compris, tout était fermé mes volets jusqu’à la table dans mon salon.
Pourquoi ce sang devant lui sur la table ? Pourquoi ce vide dans le regard quand je lui parle ? Il ne veut voir que la télévision.
L’homme d’en bas projeté en bouts d’esprit, il ignorait même qu’il était là de sa dernière pensée alors que tout était fermé, il ne voulait pas partir et sa peur s’est changée en une image rassurante mais pourquoi chez moi, je le vois quand il regarde droit devant les images en vrai, de sa vie qui s’était refermée et dispersée derrière les volets, « aidez-moi je ne veux pas partir».
LNJ
Je vis dans un endroit où se croisent les regards sans se voir, les autres ici dont dans la lumière nous berce sous des réverbères, ici les rêves soufflent dans la nuit.
Un immeuble trop grand pour respirer, un grand mur qui transpire sous la pluie dans l’acier et le béton, caressé par les bruits de la rue.
De chez moi je ne regarde pas en bas, je sais que quelque chose arrivera, de ces gens qui passent, vont et viennent, la tête dans le volant, le nez dans les pensées.
Pourtant cette fois, j’ai regardé, je vu, un quad qui passe trop vite, il double une camionnette blanche droit devant, en se rabattant l’homme au casque arrive vite, bien trop vite, il perd le contrôle, se met à chasser, de travers il est heurté violemment, comme sa monture il est projeté contre le bas de l’immeuble, l’homme est pulvérisé, l’engin atomisé, les gens courent dans la rue en panique ne sachant que faire appelant les secours qui finissent par arriver vite, j’ai assisté à la scène.
Je suis en état de choc, hagarde j’ai vu la vie partout en mille morceaux, le sang si haut, je vois du sang partout, sur mes volets, sur le sol de ma cuisine…
Un enfant de 5 ou 6 ans vient et frappe à ma porte, je lui ouvre je ne le connais pas, mais je dois le garder il est tout seul, je ne peux le laisser ainsi.
Il me demande pour regarder la télévision, je l’installe dans une pièce où on ne voit pas la rue, je lui demande si il n’a rien vu en venant, il me dit « non, je peux regarder la télévision ? » je lui fis signe de la tête en acquiesçant.
Les heures passants et personne pour venir chercher ce petit garçon, tout est redevenu calme dans la rue et toujours tout ce sang qui me tétanise, des amis viennent chez moi me chercher et toujours personne pour reprendre l’enfant.
On doit sortir alors si j’amène celui-ci avec nous et prenant soin d’éviter le lieu de l’accident ? puis me vient l’idée que ce petit garçon était peut-être le fils de l’homme sur le quad, ce père qui de hâtait peut-être pour le rejoindre, que c’était horrible cette idée, cette tristesse et tout ce fracas, cette fin, cette peine insoutenable pour un cœur si jeune, une culpabilité sans nom, mais je pense beaucoup trop, c’est inimaginable.
J’étais sans comprendre et puis voilà quand les anges passent, ils brisent les vitres inondent les vies de leur sang perdu dans l’infini.
Le temps s’est comme arrêté, le détail qui me glace, comme le sang que je vois sur la table devant lui quand il regarde bouger les images il attendait et j’ai compris, tout était fermé mes volets jusqu’à la table dans mon salon.
Pourquoi ce sang devant lui sur la table ? Pourquoi ce vide dans le regard quand je lui parle ? Il ne veut voir que la télévision.
L’homme d’en bas projeté en bouts d’esprit, il ignorait même qu’il était là de sa dernière pensée alors que tout était fermé, il ne voulait pas partir et sa peur s’est changée en une image rassurante mais pourquoi chez moi, je le vois quand il regarde droit devant les images en vrai, de sa vie qui s’était refermée et dispersée derrière les volets, « aidez-moi je ne veux pas partir».
LNJ
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
- Savourelerouge
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- Enregistré le : 05 août 2011 10:52
- Localisation : Versailles
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
merci, je sais que c'est un peu spécial
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
Je regarde les dentelles noires
Des Amours soufflés
j’ai trouvé dans la nuit, le ciel en vérité…
Avoues le vent les bras dépliés, aux braises des nuées,
quelque chose sur la bouche endormie,
tu agites ma souffrance
Les ombres se lassent parfois éprises, que j’idéalise dans le noir.
Jolies quand elles volent parfois elles s’embrassaient la main,
Aux nobles aveux de sel.
Si je fuis sous la pluie, tu agites ma souffrance
Quand le sommeil t’auras soufflé,
les pensées courroucées, ma défiance pour s’écraser.
Agonisent dans ma nuit la main sur la bouche,
à croiser le jour et le temps je regardais,
elles dorment face à ça.
L’amour dans le ciel je respirais, les mots piquent le silence,
à écarter pour les tuer, heurter le ciel et la souffrance
Par le vent dans le ciel enfin libérés.
Sombre le sommeil qui t’auras soufflé, endormie sous la pluie,
les mains derrière toi sous le feu, le ciel et la nuit, les ignorés
doucement cachées les étoiles de la nuit.
J’ai cherché la vérité, sur la bouche endormie dans le noir,
envole le feu le ciel, la nuit les ombres sans défenses
Soufflent mais qui pourrait y croire ?
Embarrassant comme le silence, l’errance et le gel
J’ai cherché la vérité des yeux qui les dérangent
Pour les filles n’enlacer que l’absente.
LNJ
Des Amours soufflés
j’ai trouvé dans la nuit, le ciel en vérité…
Avoues le vent les bras dépliés, aux braises des nuées,
quelque chose sur la bouche endormie,
tu agites ma souffrance
Les ombres se lassent parfois éprises, que j’idéalise dans le noir.
Jolies quand elles volent parfois elles s’embrassaient la main,
Aux nobles aveux de sel.
Si je fuis sous la pluie, tu agites ma souffrance
Quand le sommeil t’auras soufflé,
les pensées courroucées, ma défiance pour s’écraser.
Agonisent dans ma nuit la main sur la bouche,
à croiser le jour et le temps je regardais,
elles dorment face à ça.
L’amour dans le ciel je respirais, les mots piquent le silence,
à écarter pour les tuer, heurter le ciel et la souffrance
Par le vent dans le ciel enfin libérés.
Sombre le sommeil qui t’auras soufflé, endormie sous la pluie,
les mains derrière toi sous le feu, le ciel et la nuit, les ignorés
doucement cachées les étoiles de la nuit.
J’ai cherché la vérité, sur la bouche endormie dans le noir,
envole le feu le ciel, la nuit les ombres sans défenses
Soufflent mais qui pourrait y croire ?
Embarrassant comme le silence, l’errance et le gel
J’ai cherché la vérité des yeux qui les dérangent
Pour les filles n’enlacer que l’absente.
LNJ
tout ça ne restera qu'un stade et une question de fierté, le jamais ne vaut que la pensée d'en finir avec les beaux moments, pour une personne qui sait voir sans faire croire.
Re: *Norma* inspirée par l'album et plus sur la guerre 14-18
C'est beau !!!!
METEOR TOUR: Orléans II : 04/04/10
"L'innocent paradis, plein de plaisirs furtifs" ...
Baudelaire, les fleurs du mal.
"L'innocent paradis, plein de plaisirs furtifs" ...
Baudelaire, les fleurs du mal.